lundi 29 avril 2013

Les innovations de la communication globale en vidéo : 3 minutes pour convaincre

Découvrez les innovations présentées (3 minutes pour convaincre) lors de la conférence de l'Observatoire COM MEDIA le 15 avril dernier.
Découvrez l'ensemble des projets sur la plateforme innovation de l'Observatoire COM MEDIA

SKANTAG, reconnaissance d'image et réalité augmentée
par Jean-Pierre LABORDE, Président de VIDEAK

Konica Minolta, Réduction de l'empreinte environnementale de votre parc d'impression
par Daniel Mathieu, responsable Marketing de Konica Minolta
4uCampus, le Service presse pour les étudiants & professeurs arrive en France
par Freddy Degroux, CEO de 4uCampus


Agora Link, innovation dans le monde de la dématérialisation
Par Didier Louvet, Président d'ADMINIUM et Loïc Lefebvre, directeur du développement, Groupe Diffusion plus

Le Mix Mailer, Un support papier performant par son originalité technique, personnalisé et proposant une totale transversalité
Par Thierry Fecomme, Président d'ASCENCEO 360


Le HUB TALENTS, 
Par Jean-Christophe Chabbert, Directeur Général de Dufresne Corrigan Scarlett 

Via HECTOR, Consommateurs et marque se parlent en direct
Par Olivier Bronner, Président de PLAN NET

Next Value, valorisation des PME et ETI
par Christophe Scalabre, Directeur pilotage, finance & organisation chez ALTARES

Provigis, Tiers-certificateur de document légaux obligatoires et réglementaires
Par André Martinie, président de Provigis

France Soir, La convergence de la presse en ligne et de l'e-commerce
par Denis Gaultier, directeur général délégué de France Soir

vendredi 26 avril 2013

Statistiques de la plateforme innovation de l'Observatoire COM MEDIA

La semaine du 22 au 26 avril 2013 à permit d'enregistrer plus de : 

+ de 4 200 Visites ! 
(en augmentation de 40% en 1 semaine)

Découvrez la plateforme innovation : Ici

Appel à candidature : 
Vous souhaitez mettre en avant votre innovation au sein de notre plateforme, nous vous invitons à remplir le dossier de candidature suivant : Dossier de candidature 

Dépendance économique : l'analyse


André MARTINIE
Président Freelance.com / Provigis
Adhérent de l'Observatoire COM MEDIA
Les situations de dépendance économique sont à regarder sous deux angles de vue distincts :

LA DÉPENDANCE VOULUE
LA DÉPENDANCE SUBIE


LA DÉPENDANCE VOULUE :

La dépendance voulue caractérise une relation dans laquelle le DO impose à son fournisseur une exclusivité dans son domaine professionnel, lui interdisant de développer ses services pour des concurrents.
Cette situation n'appelle pas de commentaire particulier, si ce n'est que l'on ne peut que recommander au fournisseur de profiter d'une relation confortable d'exclusivité pour tenter de développer ses compétences hors du secteur économique de son client exclusif, quand c'est possible.

Néanmoins, pour des entreprises de très petite taille, les solutions de sortie de dépendance exposées ci-dessous doivent pouvoir être opérantes.

LA DÉPENDANCE SUBIE :

La dépendance économique subie caractérise les situations bien plus fréquentes dans lesquelles :

  • Soit le fournisseur est en dépendance économique et cherche à en cacher ou retarder la prise de conscience par le DO;
  • Soit de DO est conscient du fait de dépendance et se sent piégé par les conséquences éventuelles de toute variation significative du volume d'affaires confié au fournisseur.

Dans les deux cas, il est fréquent que chacun pense avoir intérêt à "cacher sa copie" à l'autre (expression que j'emprunte à au médiateur Robic), avec pour résultat qu'au moment où des décisions doivent être prises, il est généralement trop tard ou bien elles se prennent dans la douleur avec des conséquences de perte de confiance, de destruction d'emploi et de savoir-faire bien plus irréversibles que si elles avaient été anticipées.

Le cas le plus fréquent que nous constatons sur les milliers de missions que nous signons chaque année, est quand un fournisseur passe de l'état de non dépendance à celui de dépendance "à l'insu de son plein gré", soit parce que le DO lui confie de plus en plus de travail, soit parce que d'autres clients quittent le fournisseur qui se trouve alors arithmétiquement en situation de dépendance avec les DO qui restent, ces derniers ne pouvant détecter eux-mêmes la situation. J'appelle ce cas "la dépendance exogène".
C'est ce cas qui est le plus anxiogène chez le fournisseur d'une part, et qui n'est détectable par les autres DO que lorsque les comptes du fournisseur sont déposés X mois plus tard, avec un effet de lissage qui occulte partiellement la situation réelle. Le DO, lorsqu'il en prend conscience à son tour, a le sentiment d'avoir été trompé par un fournisseur qui pendant des mois a caché "de mauvaise foi" un fait susceptible de lui générer des droits au détriment du DO de bonne foi. La réaction du DO est d'autant plus brutale qu'il a le sentiment d'avoir été trompé.

Les fournisseurs touchés par ce genre de situation sont très majoritairement des TPE et des petites PME, avec des conséquences rapidement dramatiques et une destruction de valeur et d'emplois irréversibles.

Mon point de vue est qu'il faut créer des conditions nouvelles, des pratiques nouvelles d'anticipation et de prévention des situations de dépendance, notamment de "dépendance exogène" qui permettent aux parties de réduire et ou de lisser les effets destructeurs évoqués ci-dessus. Bien entendu, ni la Médiation ni la Charte n'ont la fonction de se substituer à un management défaillant, celui qui par exemple, se sachant en situation de dépendance économique ne prend aucune mesure d'action commerciale notamment pour en sortir. 


RECOMMANDATIONS : 

Alors comment limiter les risques, du point de vue des DO ?

  • Dispositif existant à la portée de tous : Au moment, mais juste avant la contractualisation, quand le volume d'affaire potentiellement confié au petit fournisseur dépasse d'entrée de jeu 15% de son CA de N-1, faire passer le fournisseur par un "intégrateur de PME & TPE" en s'assurant que ce dernier a bien, dans ses fonctions d'intégrateur, une capacité réelle à aider les PME & TPE concernées à chercher et trouver des missions qui relèvent de leurs domaines de compétence. C'est notamment le cas des intégrateurs qui ont simultanément une place de marché (freelance.com par exemple dans la prestation intellectuelle) qui publie simultanément des missions ET des listes d'intercontrats. Dans cette configuration, le petit fournisseur est en permanence "nourri" par des propositions de nouvelles missions potentielles et ne peut, s'il lui en prenait l'envie, valablement arguer plus tard d'une dépendance économique imposée. Cette mesure nous semble la plus efficiente tant sur le plan de l'anticipation que sur le plan de la réduction des risques, pour les deux parties.
  • Dispositif existant chez certains DO ayant déjà une culture RSE assez mature : 
    • Que le DO oblige ses process internes à donner au fournisseur une visibilité de 3 à 6 mois au fournisseur, de telle sorte que notamment, le fournisseur sache au moins 3 mois à l'avance que sa mission va prendre fin. En l'absence de "bonnes pratiques" encadrant ce dispositif, il peut être facilement dénaturé par des échelons intermédiaires hors de la vue des directions centrales des achats.
    • Un programme du DO ( exemple La Poste Lab) pour promouvoir les plus méritants des petits sous-traitants. Cette approche convient aux meilleurs, mais n'est pas une solution pour les autres qui sont les plus nombreux et tout aussi indispensables. C'est une solution utile, mais partielle.
  • Dispositifs inexistants sur lequel nous proposons de travailler : 
    • Améliorer la détection des risques de dépendance économique par une collecte d'information plus fréquente (semestrielle) sur le CA des sous-traitants. Cette information est la clé de tout système de détection avancée. Sa collecte n'ayant à ce jour aucune justification légale, si elle est imposée par le DO, elle sera ressentie comme intrusive si elle n'est pas accompagnée d'un engagement du DO en contrepartie de la transparence donnée par le fournisseur. Le rôle de la Médiation et de Commedia est à notre sens fondamental dans cette perspective pour créer des conditions de confiance constructive.

Comment limiter les risques du point de vue des fournisseurs ?

  • Dispositifs existants à la portée de toutes les TPE et PME : 
    • Maximiser le recours aux places de marchés qui publient des missions de manière à être en mesure de prendre rapidement des mesures de substitution de clients perdus.
    • Idem pour les places de marchés qui permettent de réduire l'effet des "intercontrats".
    • Variabiliser une part de leur activité par le recours partiel à des freelances ou consultants en portage salarial.
  • Dispositifs inexistants sur lequel nous proposons de travailler : 
    • Entre les fournisseur et le DO, en échange d'un niveau d'information (CA semestriel) plus précis et plus fréquent pour monitorer la dépendance économique, le fournisseur devrait alors obtenir du DO une meilleure visibilité sur l'évolution du carnet de commandes "à minima" pour porter par exemple sa visibilité réelle à 6 mois. (Le délai pouvant varier selon les métiers). Il nous semble indispensable qu'un tel dispositif relève d'un engagement public (via la Charte) de la part du DO et qu'il fasse l'objet de clauses spécifiques dans les contrats. Le rôle de la Médiation et de Commedia est à notre sens fondamental dans cette perspective pour créer des conditions de confiance constructive.
La création d'une vraie base de données des compétences de PME et TPE, disponible pour les DO et permettant aux petits fournisseurs de faire l'économie de lourds salaires commerciaux dont l'absence rend bien plus difficile la diversification de la clientèle et par conséquent augmente la fréquence et la durée des situations de dépendance économique. Plusieurs tentatives se sont soldées par des échecs : Les TPE et PME, trop rivées sur l'extrême court terme n'ont aucune constance dans ce type d'effort qui demande de la rigueur et de la patience. Seuls les freelances, via leur indispensable CV contituent une population dont les compétences sont réellement "online". Dès qu'on arrive en mode TPE et plus, c'est fini, mais nous avons des idées sur le sujet (à développer).

André MARTINIE
Président de. Freelance.com et de Provigis

FICAM // AMORCE D’UN RECUL DES DELOCALISATIONS // BAISSE DE 18% DES BUDGETS DE LONGS METRAGES

L’Observatoire « Métiers et Marchés » de la Ficam recense auprès des Industries techniques les productions de films de long métrage (FIF) dont le premier jour de tournage est constaté et déclaré par ses adhérents entre le 1er janvier et le 31 mars de l’année civile. Des différences peuvent apparaître avec les données officielles du CNC qui prennent en compte les films ayant obtenu leur Agrément de Production ou des Investissements dans chaque année civile.

Amorce d’un recul du taux de délocalisation des FIF

Le taux de délocalisation est à 34% au 1er trimestre 2013 contre 43% au 1er trimestre 2012, les producteurs anticipant la mise en œuvre de la réforme du Crédit d’impôt Cinéma et sa rétroactivité au 1er janvier 2013.

Compte-tenu de ce contexte, la Ficam se félicite de l’adoption à l’Assemblée Nationale, en fin d’année 2012, des mesures tant attendues par sa filière et des milliers d’intermittents en faveur de la réforme des Crédits d’impôt (Cinéma, Audiovisuel, International), mais est toujours en attente de la validation définitive de la Commission européenne. Celle-ci permettra, nous le souhaitons, l’accélération de la relocalisation de la Production nationale, dans la continuité de ce 1er trimestre.

Augmentation du nombre de films de fiction et légère hausse du nombre de semaines de tournage (+2%), hors documentaire et animation // Baisse des montants investis

38 Films de Longs métrages d’initiative française ont été tournés au 1er trimestre 2013 contre 41 en 2012, dont 33 films de fiction et 5 documentaires.

Les 33 Longs métrages de fiction ont généré 244 semaines de tournage au 1er trimestre 2013 contre 240 en 2012, soit une hausse de 2%. Le nombre de semaines de tournage en France (+19%) suit une évolution opposée au nombre de semaines de tournage à l’étranger (-21%).

*Les montants investis pour les films mis en production au 1er trimestre 2013 sont en stagnation par rapport à 2012. Mais, en mettant de côté le projet Supercondriaque de Dany Boon, au budget (de loin) le plus élevé du trimestre, nous constatons une baisse de 18% des budgets comparé au 1er trimestre 2012.
Alors que les films inférieurs à 4 M€ augmentent de 25%, nous constatons dans le même temps une baisse du nombre de films situés entre 4 et 7M € de budget. Cette évolution inquiète les Industries techniques, d’autant plus que les films à gros budgets sont beaucoup plus sujets à la délocalisation.

jeudi 25 avril 2013

L'état devra miser sur les achats d'innovation

Les achats de l'État devront désormais intégrer au minimum 2% d'achats innovants dans leurs marchés. Une bonne nouvelle pour les PME et start-up. Tel a été l'objet de la première conférence sur les achats innovants organisée le 11 avril 2013 au ministère de l'Economie et des Finances à Bercy. Copyright ©Editialis

"Comment pressurer ses fournisseurs en 37 leçons"

Le courriel est signé : "Cordialement, Charlotte." Mais le message n'a rien de cordial. En trois phrases, Charlotte, qui travaille dans un groupe du secteur de la santé, y presse l'un de ses fournisseurs de baisser ses prix. Raison invoquée : la mise en place, depuis le 1er janvier, du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), la mesure choc du plan de l'Etat pour redonner de l'oxygène aux entreprises. Ce crédit doit leur permettre de récupérer 4 % de la masse salariale pour les rémunérations allant jusqu'à 2,5 fois le smic.
En conséquence, "nous souhaitons une révision de 2 % à la baisse des tarifs de 2012", écrit Charlotte. En clair, elle veut que son fournisseur lui transfère immédiatement, sous forme d'une diminution des prix, l'essentiel de ce qu'il doit gagner grâce au CICE.

"C'est un véritable racket !", s'exclame Pierre Pelouzet, l'ancien directeur des achats de la SNCF nommé par l'Etat en novembre 2012 médiateur des relations interentreprises. Le courriel lui a récemment été transmis de façon anonyme, sans que les sociétés en cause puissent être identifiées – "vous voyez, l'omerta subsiste". D'autres dirigeants de PME lui ont montré des documents similaires, mais sans les lui laisser.

"ELLE TUE LE TISSU INDUSTRIEL"

Le message en cause n'est pas forcément illégal, sauf s'il se traduit par une modification unilatérale de contrat. Mais il est "tragique, juge M. Pelouzet. Quand une grande entreprise extorque ce genre de baisse de prix à une petite, elle croit être gagnante. Or en faisant mal aux autres, elle prend des risques pour elle-même, car elle tue le tissu industriel dont elle a besoin".

Cette affaire en témoigne : avec la crise qui n'en finit pas, les ventes en berne et les trésoreries de plus en plus exsangues, les relations entre les entreprises sont en train de se tendre nettement. En particulier dans des secteurs très secoués comme l'automobile. Tous les moyens semblent alors bons pour faire des économies sur le dos de ses fournisseurs. "Mais parfois, la crise a bon dos, ajoute M. Pelouzet. C'est devenu une excuse pour grappiller un peu de marge en utilisant des méthodes détestables, même dans des branches qui vont bien, comme la santé."

Le racket au CICE est la trente-septième "mauvaise pratique" identifiée par la médiation depuis sa création en 2010. Les plus fréquentes restent le non-respect des délais de paiement et la rupture brutale de contrat. Soudain, une entreprise qui veut éviter de mettre son personnel au chômage technique va, par exemple, rapatrier dans ses ateliers une production qu'elle confiait jusqu'alors à d'autres. Les sous-traitants ne pourront que pleurer sur leurs commandes restées lettre morte...

FRAGILES DOMINOS

"Depuis deux ou trois mois, la pression mise sur les acheteurs est remontée, constate Olivier Wajnsztok, directeur du cabinet AgileBuyer. Compte tenu de la conjoncture, les directions générales leur demandent de réduire encore les coûts. En même temps, il y a une peur croissante que des fournisseurs en difficulté disparaissent ou cessent de livrer." Car si tel est le cas, le donneur d'ordres risque à son tour d'être en danger. Fragiles dominos...

"Le rapport de force entre les entreprises n'a jamais été aussi dur qu'aujourd'hui", confirme Denis Le Bossé, président du cabinet ARC, spécialisé dans le recouvrement de créances. Un temps, la loi de modernisation de l'économie (LME) de 2008, puis la légère embellie conjoncturelle ont amélioré la situation. Sous la pression, les entreprises ont en particulier réduit les délais dans lesquels elles paient leurs fournisseurs. Mais depuis la mi-2012 et la nouvelle vague de la crise, les délais sont repartis à la hausse. Seules 31,5 % des entreprises françaises règlent actuellement leurs factures dans les temps, selon le dernier pointage effectué par les experts d'Altares. Le retard moyen tourne autour de douze jours.

"Ce matin encore, on m'a dit : "Voici votre traite, nous la paierons dans quatre-vingt-dix jours"", témoigne Frédéric Grivot, un des vice-présidents de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME). Il a eu beau répliquer que le délai normal était de soixante jours, invoquer la LME, la réponse a été sans appel : "Soyez content d'être payé. C'est ça ou rien !"
Souvent, les choses ne sont pas dites aussi crûment. Les délais sont censés être respectés, mais le client prétexte une adresse erronée, un mauvais numéro de commande... pour retarder le paiement effectif. "Toutes les astuces possibles et imaginables sont utilisées", note un patron de PME, sidéré.

CRAINTE D'UN RECOURS À LA MÉDIATION

L'enjeu est majeur. Si les délais légaux étaient respectés, quelque 13 milliards d'euros viendraient gonfler la trésorerie des PME et 9 milliards d'euros celle des entreprises de taille intermédiaire, estime-t-on. Seulement voilà : "Aujourd'hui, les entreprises sont tétanisées à l'idée de réclamer le paiement de leurs factures, relate M. Le Bossé. Elles ont trop peur de perdre leurs clients. Quant à facturer des intérêts de retard comme la loi le prévoit, elles n'y pensent même pas, surtout les PME ! Et les sanctions existantes ne sont pas mises en oeuvre."

Pas facile pour une petite ou une moyenne société de saisir la justice contre un groupe dont dépend une grosse partie de son chiffre d'affaires, quand ce n'est pas sa survie. Le recours à la médiation interentreprises suscite lui aussi des craintes, alors même qu'il débouche sur un accord dans 80 % des cas.

"J'y ai fait appel récemment pour un litige avec un fournisseur d'énergie qui voulait m'imposer de payer en quinze jours seulement, raconte Elfrieda Blasczak-Desboeufs, la dirigeante de deux PMI lorraines. Grâce à l'intervention du médiateur régional, un responsable commercial est venu me voir, la pression est retombée et j'ai obtenu de payer à trente jours. Pour une facture de 20 000 euros par mois, ce n'est pas négligeable."
Pour améliorer la donne sur le front des délais de paiement, Bercy a promis d'effectuer 2 000 contrôles en 2013. Pas sûr que cela suffise à inverser le rapport de force.


Par Denis Cosnard - 22/04/2013
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Retrouvez cet article sur lemonde.fr

mercredi 24 avril 2013

La presse en parle via Stratégies : L'Observatoire COM MEDIA veut rendre l'innovation visible


L'Observatoire Com Media veut rendre l'innovation visible
L'Observatoire Com Media (anciennement Observatoire du hors-média), qui rassemble 150 adhérents et partenaires et revendique 40% des investissements marketing et communication en France, lance une plate-forme en ligne sur l'innovation. Son but: rendre visible, pour les donneurs d'ordres, les innovations des acteurs de la communication globale.

mardi 23 avril 2013

L’Observatoire partenaire de BALmétrie présent à la réunion plénière du 22 Avril 2013



Les mois d’Avril et de Mai permettront :

·         de valider le concept d’audience
·         d’obtenir les retours des comités scientifiques et du rapport du CESP
·         de publier d’ici fin Mai les premiers résultats

Nous adresserons début juin, le document de synthèse des premiers résultats aux adhérents de l’Observatoire COM MEDIA.

La presse en parle (e-marketing) : L'Observatoire COM MEDIA s'engage pour l'innovation


"L'association sort une plateforme web destinée à donner de la visibilité aux innovations portées par les acteurs de la communication globale."

"À l'occasion de sa dernière conférence plénière qui s'est tenue le 15 avril dernier à l'Assemblée nationale, L'Observatoire Com Media a annoncé la création d'une plateforme innovation. L'intérêt de cette plateforme est double : promouvoir les innovations des prestataires de la filière auprès des acteurs et prescripteurs du marché ; faire de la veille sur les dernières innovations pour les donneurs d'ordre. Le détail des informations est réservé aux adhérents de l'Observatoire Com Media." ...
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lundi 22 avril 2013

Communiqué de presse : La communication innove et l'Observatoire COM MEDIA le fait savoir




À l’occasion de sa dernière conférence plénière qui s’est tenue le 15 avril dernier à l’Assemblée Nationale, l’Observatoire COM MEDIA présidé par Dominique SCALIA, annonce le lancement de sa plateforme innovation.

La plateforme innovation permet aux acteurs de la communication globale de bénéficier d’un lieu de référence pour la promotion de leurs innovations auprès du plus grand nombre d’acteurs et de prescripteurs du marché.

L’objectif premier de cette initiative est de rendre visible, pour les donneurs d’ordres, les innovations des acteurs de la communication globale.

C’est mettre en avant les différentes catégories d’innovations liées :
•À la technologie,
•Aux valeurs,
•Aux positionnements,
•Aux concepts,
•À l’industrie.

Cet outil s’insère dans la démarche menée en commun avec la Médiation inter-entreprises pour la nécessité de donner de la visibilité aux acteurs de la filière de la communication globale.

En l’espace d’une semaine, la plateforme innovation a déjà pu valider tout son intérêt à la fois auprès des prestataires de la filière à la recherche de visibilité et les grands donneurs d’ordres, annonceurs, souhaitant accélérer leur veille en terme d’innovation.

Demande d'informations : info@obs-commedia.com 
Obtenir le communiqué de presse : ici

vendredi 19 avril 2013

Comment donner de la visibilité aux acteurs de la communication !

Depuis le lancement officiel de la plateforme innovation lors de la rencontre plénière de l'Observatoire COM MEDIA du 15 avril dernier, Salle Victor Hugo au 101 rue de l'Université à Paris :

+ de 3000 Visites !

Découvrez la plateforme innovation : Ici

Appel à candidature : 
Vous souhaitez mettre en avant votre innovation au sein de notre plateforme, nous vous invitons à remplir le dossier de candidature suivant : Dossier de candidature 

jeudi 18 avril 2013

L’ANAé signe la Charte des relations inter-entreprises lors de la rencontre plénière de l'Observatoire COM MEDIA

Patrick Bensadoun, Président de l'ANAé
Dominique Scalia, Président de l'Observatoire COM MEDIA
L’association professionnelle poursuit son engagement pour une meilleure relation agences/annonceurs.
C’est à l’occasion de la réunion-plénière de l’Observatoire Com Media, le 15 avril dernier à l’Assemblée Nationale, que l’ANAé a signé les « 10 engagements pour des achats responsables ». Cette charte, élaborée conjointement par la Médiation du Crédit et la Compagnie des Dirigeants et Acheteurs (CDAF), a pour vocation d’encourager les donneurs d’ordre à mettre en place une démarche de progrès vis-à-vis de leurs fournisseurs. Parmi les 400 entreprises signataires figurent 9 agences de l’ANAé : Creativ Spirit, HRG Events, L’Agence Link Event & Image, La Fonderie, Magic Garden Agency, Manifestory, MCI France, Ormès et Sensation !





Temps forts de la rencontre du 15 avril 2013


L'Observatoire COM MEDIA s'est réuni en rencontre plénière le 15 avril dernieren soirée à Paris dans le cadre prestigieux de la Salle Victor Hugo, 101 rue del'Université.Cette réunion présidée par Dominique SCALIA, s'est déroulée en présence deplus de 200 participants.


« Etat des lieux : panorama de la communication aujourd’hui » - Conférence plénière d’ouverture Vidéo

« Etat des lieux : panorama de la communication aujourd’hui » - Conférence plénière d’ouverture Vidéo
Intervenants : 
- Laurent HABIB, fondateur de l'agence BABEL
- Dominique SCALIA, Président de l'Observatoire COM MEDIA
- Frédéric VANDEKERKHOVE

mercredi 17 avril 2013

L'Association des anciens élèves et diplômés de l'Ecole Polytechnique, parle de l'Observatoire COM MEDIA



Découvrez l'article publié par X open Innovation, le groupe professionnel de l’association des anciens élèves et diplômés de l'école Polytechnique.




L'Innovation chez les acteurs de la branche communication

Le 15 avril, l'Observatoire Commedia (ex "Observatoire du hors média"), une association qui s'est donné la mission d'être le "lieu de référence et d'innovation pour les annonceurs et les acteurs de la Branche de la communication", a tenu une rencontre plénière sur adressant les travaux de l'association, l'innovation dans le secteur de la communication et les bonnes pratiques inter-entreprises de la branche.

Les travaux de l'association ont fait émerger des thèmes de convergence entre les donneurs d'ordre et leurs fournisseurs :

  1. la visibilité (chaîne de sous-traitants,...), 
  2. la transparence et le respect des procédures d'achat (critères d'attribution,...), 
  3. la protection de l'innovation (propriété intellectuelle, secret d'entreprise....), 
  4. la reconnaissance des offres distinctives, 
  5. l'indépendance économique entre les partenaires.

Ensuite, 10 membres de l'association ont présenté leur innovation [1], avec une égalité de traitement assurée par un chronométrage rigoureux du temps de parole (égal à trois minutes pour chaque présentateur).


La rencontre s'est clôturée par la signature avec Pierre Pélouzet, Médiateur national des relations inter-entreprises, et une douzaine de membres de l'association, de la Charte de la médiation inter-entreprise.

[1] Galerie des acteurs innovants membres de Commedia sur le site de Commedia

mardi 16 avril 2013

Merci de votre participation à la rencontre plénière de l'Observatoire COM MEDIA du 15 avril

L'Observatoire COM MEDIA s'est réuni en rencontre plénière le 15 avril dernier en soirée à Paris dans le cadre prestigieux de la Salle Victor Hugo, 101 rue de l'Université.
Cette réunion présidée par Dominique SCALIA, s'est déroulée en présence de plus de 200 participants.


Ouverture de la Séance :
Roger PECOUT, chargé de la veille parlementaire de l'Observatoire COM MEDIA
Dominique SCALIA, président de l'Observatoire COM MEDIA

Présentation des Accords de bonnes pratiques de la Branche Communication Globale : 
Pierre PELOUZET, Médiateur des relations inter-entreprises
François GIRARD, Délégué Général de la CDAF
Dominique SCALIA, Président de l'Observatoire COM MEDIA
Jean BOUVEROT, Chef de la mission achats et responsable ministériel des achats au Ministère de la Défense
Jean-Pierre VIGNES, Directeur des Achats non marchands chez Carrefour
Thomas MORTIER, Président de STACI

Lancement officiel de la plateforme innovation et du groupe de travail :
Inge KERKLOH-DEVIF, directrice de la formation continue, Sciences Po
Jean-Pierre LABORDE, Grand reporter et ancien rédacteur en chef de France Info, Président VIDEAK
Catherine MICHAUD, Présidente Agence \XL (Groupe TBWA)

Présentation de 10 innovations de la communication globale : 

  • Videak, SkanTag, reconnaissance d'image et réalité augmentée, présenté par Jean-Pierre LABORDE, Président
  • Konica Minolta, réduction de l'empreinte environnementale de votre parc d'impression, présenté par Daniel Mathieu, Responsable Marketing et Communication
  • Provigis, Tiers-certificateur de document légaux obligatoire et réglementaires, présenté par André MARTINIE, Président 
  • Ascencéo 360, Le mix mailer, présenté par Thierry FECOMME, président
  • 4uCampus, le service presse pour les étudiants & professeurs arrive en France, présenté par Freddy DEGROUX, CEO
  • Dufresne Corrigan Scarlett, Le Hub Talents, présenté par Jean-Christophe CHABBERT, Directeur Général
  • Altarès, Next Value, valorisation des PME et les ETI, présenté par Christophe SCALABRE, directeur pilotage finance et organisation
  • Plan.Net, Via Hector, Consommateur et marques se parlent en direct, présenté par Olivier BRONNER, Président
  • Agora Link, Co-conception et innovation dans le monde de la dématérialisation, présenté par Loic LEFEBVRE, directeur de développement de Groupe Diffusion Plus et Didier LOUVET, Président d'Adminium
  • France Soir, La convergence de la Presse en ligne et de l'e-commerce, présenté par Denis GAULTIER, Directeur Général Délégué

Cérémonie de Signature de la Charte des relations inter-entreprises par 14 nouvelles entreprises 

Merci de votre participation, rendez-vous le 8 Juillet prochain!

vendredi 12 avril 2013

J-4 / Rencontre plénière de l'Observatoire COM MEDIA

Rencontre plénière de l'Observatoire COM MEDIA du 15 avril 2013

Les thèmes : 
  1. Accords de bonnes pratiques - Branche Communication
  2. L'innovation

Posez vos questions, commentaires dès à présent ! 

WEB (smartphones, Tablettes, ordinateurs) :
Tapez app.wisembly.com dans la barre de recherche,
Puis tapez le mot clé : COMMEDIA
SMS :
Envoyez COMMEDIA suivi d'un espace et votre question au 31 035
Prise de parole anonyme, en toute transparence !

jeudi 11 avril 2013

J-5 / Rencontre plénière de l'Observatoire COM MEDIA


Rencontre plénière du 15 avril 2013

Thèmes : 

  1. Accords de bonnes pratiques - Branche communication
  2. L'innovation

Déroule de la rencontre : 

18h30 ->18h45 : Ouverture de la rencontre 
par Yves ALBARELLO, Député de Seine et Marne et Dominique SCALIA, Président de l'Observatoire COM MEDIA


18h45 -> 19h15 : Accords de bonnes pratiques
Présentation et synthèse des travaux menés par François GIRARD (CDAF) et Dominique SCALIA (Observatoire COM MEDIA) sur les accords de bonnes pratiques.

Synthèse des travaux présentés par : Jean BOUVEROT, Chef de la mission achats et responsable ministériel des achats au Ministère de la défense.

Témoignages de :
Jean-Pierre VIGNES, Directeur des Achats non marchands chez Carrefour, pour le collège annonceurs.
Thomas MORTIER, Président de STACI, pour le collège filière.

19h15 -> 20h15 : Innovations 
Le lancement de notre plateforme innovation nous permettra de vous présenter 10 innovations significatives des différents secteurs de la branche de la communication globale, selon le principe de : « 3 minutes pour convaincre ». Inge KERKLOH-DEVIF Directrice de la Formation continue de Sciences Po et Jean-Pierre LABORDE Président de VIDEAK (Rédacteur en chef de France-Info), animeront ce temps fort.

A l’issue de la présentation des innovations, Catherine MICHAUD Présidente de l’agence XL (Groupe TBWA), fera réagir les intervenants sur les questions posées par le public sur Wisembly.

20h15 ->20h30 Cérémonie 
Cérémonie de la signature de la Charte de la médiation inter-entreprises. Avec la participation de Pierre PELOUZET, Médiateur National des relations inter-entreprises

20h30 -> 22h00 Cocktail, partages et échanges


lundi 8 avril 2013

L'Observatoire COM MEDIA présent au 7ème Comité de Pilotage de la Charte en présence du Ministre du Redressement Productif

L'Observatoire COM MEDIA, présent ce jour au 7ème Comité de Pilotage de la Charte des relations inter-entreprises à Bercy en présence de : 
  • Jean-Lou Blachier, Médiateur national des marchés publics
  • Pierre Pelouzet, Médiateur national des relations inter-entreprises
  • Marc Sauvage, Président de la CDAF
L'Ordre du jour : 
  • Message d'accueil du Ministre du Redressement Productif
  • Présentation de la Médiation des marchés publics
  • Remise des certificats aux nouveaux labellisés
  • Présentation de l'approche filière industrielles stratégiques
  • 3 ans de Charte
    • Réalisation et avancées
    • Présentation des nouveaux organismes de formation et cabinets conseils agréés
    • Point d'avancement sur le 3 groupes de travail
      • Piloter les délais de paiement des factures fournisseurs
      • gérer les situation de dépendances clients-fournisseurs
      • mobiliser les fournisseurs pour mettre en oeuvre les engagements de la Charte
  • La CDAF et les accords sectoriels de bonnes pratiques achats
  • La CDAF et les actions de promotion de la Charte

vendredi 5 avril 2013

Invitation et Programme de la rencontre plénière du 15 Avril 2013




L'Observatoire COM MEDIA présent au salon Créativ'Pack




L'Observatoire COM MEDIA était présent le 3 avril 2013 au salon Créativ'Pack.

Créativ'Pack, le salon des nouvelles tendances et des innovations du packaging.







L'Observatoire COM MEDIA, proche de ses adhérents !

Christophe DELABRE
Groupe Créaset Paris

Didier FARGE
Connexance

Présentation de la plateforme des innovations


Accords de bonnes pratiques de la Branche de la communication globale


L'Observatoire COM MEDIA représenté par son président, Dominique SCALIA et la CDAF représenté par son délégué Général François GIRARD ont tenu une rencontre le 03 avril 2013 en présence d'un collège d'Annonceurs ainsi que d'un collège de Prestataires sur le thème des accords de bonnes pratiques de la Branche de la communication globale.

L'ensemble des travaux seront présentés lors de la prochaine rencontre plénière de l'Observatoire COM MEDIA du 15 Avril prochain, Salle Lamartine.

mercredi 3 avril 2013

Rencontre du Comité Stratégique de l'Observatoire COM MEDIA

Le 02 avril dernier, l'Observatoire COM MEDIA a tenu son 3ème Comité Stratégique de l'année.
Ordre du jour de la réunion :

  • Ca c'est passé au 1er trimestre
  • Les nouveaux adhérents
  • Préparation de l’événement du 15 avril
  • Les groupes de travail
  • Point d'actualité