En moyenne, les campagnes d'e-mail marketing B to C ont vu leur taux d'ouverture décliner de 17 % entre 2010 et 2011. Les taux de clics diminuent également d'environ 10 %, pour atteindre 4 %. En revanche, la réactivité, c’est-à-dire le rapport cliqueurs/ouvreurs, sur les e-mails B to C progresse de plus de 9 % pour s'élever à 45 %. Dans le détail, il apparaît que les newsletters quotidiennes et le secteur financier sont les plus touchés. À l’inverse, la distribution et les médias bénéficient des taux d'ouverture les plus élevés.
Deux causes principales à la baisse tendancielle des taux d’ouverture et des taux de clics : l'excès d'e-mails reçus et le manque de pertinence des contenus et des objets des e-mails.
(mail métrics – fev 2012)
Rappel : Le 29 mars prochain, découvrez la restitution de l'enquête "Pratiques & tendances 2012 de l’e-mail marketing en France » lors de notre rencontre plénière
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Cela doit dépendre des thèmes également. Quels thèmes sont les plus ouverts ?
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