Dominique SCALIA, Président de l'Observatoire COM MEDIA, souhaite vous faire partager l'aventure, les valeurs, les données, les enjeux et les ambitions que porte l'Observatoire COM MEDIA. Notre actualité, notre quotidien est riche de partage, d'écoute, de découverte, d'initiatives que nous souhaitons vous communiquer régulièrement. C'est aussi donner la parole a nos instances, membres du bureau, comité stratégique, adhérents, partenaires, institutionnels.
jeudi 28 juin 2012
Fleur Pellerin, Ministre déléguée chargée des PME et de l'économie numérique parle de la Charte de la Médiation
"Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME et de l'économie numérique, a indiqué qu'elle souhaitait continuer à s'appuyer sur la médiation de la sous-traitance et sur la charte des bonnes pratiques entre grands groupes et PME"
Les Echos : l'article
mardi 26 juin 2012
La presse en Parle : L'économie de la filière du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia
La production audiovisuelle représente 1,18 milliard d'euros de chiffre d'affaires
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26/06/2012
Selon une étude inédite de la Fédération des industries du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia (Ficam), menée par l'Observatoire du hors média (OHM), l'univers de la production audiovisuelle représenterait 147 entreprises, générant 1,18 milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2009. Ce chiffre a progressé de 243% entre 2001 et 2009. Et le chiffre d'affaires total serait réalisé à 90% en Ile-de-France. Enfin, ces sociétés sont majoritairement de taille modeste: 71% d'entre elles réalisent un chiffre d'affaires compris entre 2 et 10 millions d'euros.
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lundi 25 juin 2012
Préambule à notre rencontre du 5 juillet prochain au Palais du Luxembourg / Table Ronde Développement Durable-RSE
Christophe Delabre Directeur Associé - Point 44 (Adhérent OHM) |
Lors de notre rencontre du 5 juillet, nous allons vous présenter, au travers des
résultats de l'étude menées par les membres de le commission DD/RSE de l'OHM au
près des acteurs de la communication globale, notre niveau
de maturité sur le sujet mais aussi au travers des témoignages de nos invités
que le DD c'est répondre à des enjeux
qui ont du sens !
Christophe Delabre animera la table ronde qui verra six intervenants prendre la parole :
- Laurence Hulin, Directrice du développement Durable, Médiapost
- Agnès Rambaud-Paquin, Directeur associé, Des Enjeux et des Hommes
- Antoine Sauvage, Directeur Développement Durable, Courtepaille
- Christian Huglo, Associé fondateur, Cabinet Huglo Lepage
- Jean-Raphael Hétier, Directeur Commercial GMS et Développement Durable, PepsiCo France
- Jean-Christophe Tran, Directeur Général Adjoint, GIE BPCE Achats (Lauréat du trophée des achats dans la catégorie "Achats Responsable")
vendredi 22 juin 2012
Préambule à notre rencontre du 5 juillet prochain au Palais du Luxembourg / Table Ronde ROI
Michel Sara Fondateur ROI\Marketing (adhérent OHM) |
Aujourd’hui
la problématique de la communication intégrée, réellement transversale, se pose
à tous les annonceurs et leurs prestataires. Bien résoudre cette problématique
nécessite de réussir aussi bien un défi au niveau de la mesure (comment
comparer ce qui est à la base est hétérogène) qu'au niveau des enjeux d’organisation
(comment faire travailler ensemble des acteurs qui sont, pour la plupart,
structurés en silos).
Après avoir posé le débat en ces termes, Michel Sara
animera la table ronde qui verra cinq intervenants prendre la parole :
- Deux Directeurs Marketing, Philippe Thobie dans le
monde de la distribution (Monoprix), et Stéphanie Michel-Girard dans les PGC
(Kellogg’s), témoigneront, à partir de leur point de vue d’annonceurs, des
challenges liés à la mise en place d’une communication intégrée.
- Jean-Christophe Chabbert, apportera sa perspective de
dirigeant d’agence, au sein d’une structure, la Maison de la
Communication, qui regroupe sous le même toit toutes les disciplines de
communication.
- Maryse Mougin, Directrice la Relation et du Marketing
Client à la Poste, nous fera partager une étude sur les comportements des
« digital influencers » relativement à l’utilisation du média
courrier dans leur parcours d’achat, montrant les nombreux rebonds
existant entre le courrier et la galaxie des points de contact du web sur
cette cible a priori rétive aux médias du « monde physique ».
- Enfin, Thierry Fécomme, Président d’Ascencéo 360,
présentera une initiative pionnière dans le monde du b-to-b, où en partant
d’un partenariat avec le magazine référent du secteur, il a monté un
dispositif multi-canal, intégré et innovant.
Point de vue OHM : Défaillances des agences de publicité et des médias
Le nombre de défaillances d'agences de publicité évolue peu au premier trimestre 2012 alors que celui des médias augmente fortement, selon le baromètre Coface Services (article Stratégies du 21.06.2012)
Point de vue OHM :
Le nombre de défaillances d'agences de publicité selon l'étude OHM/ALTARES, "L'économie de la communication globale" secteur agence. Sur une base exhaustive des entreprises publiantes soit 7 439. Le secteur des agences de publicité pèse en terme de chiffre d'affaires 16% de la branche de la communication globale avec plus de 7Mds€ de CA en 2009.
Le Crédit Inter-entreprises, un mal nécessaire ?
Bruno BLANCHET, Formateur conseil, CODINF |
"A l’heure où la résurgence possible d’accords dérogatoires se profile d’ici l’automne prochain, n’est-ce qu’un énième ouvrage de plus sur un sujet rebattu ? Peut-être pas… En effet, ce livre a la particularité d’être co-rédigé par deux professionnels aguerris, qui plus est pédagogues puisqu’ils animent déjà un stage modulable (deux ou trois jours) sur l’optimisation de la gestion du besoin en fonds de roulement. Il s’agit d’une formation proposée en partenariat par les deux associations professionnelles réputées que sont l’AFDCC (Association Française des Credit managers et Conseils) et l’AFTE (Association Française des Trésoriers d’Entreprise).
Les auteurs sont
complémentaires : l’un est professeur au CNAM et allie une expérience
bancaire et financière à la connaissance concrète du crédit management ;
l’autre est crédit manager de longue date, très au fait des spécificités
propres à de nombreux secteurs d’activité et coopère avec les organismes
nationaux qui visent à réguler les pratiques.
Ce livre permet de faire un
tour d’horizon complet de la problématique, depuis les origines historiques du
crédit inter-entreprises, en passant par les avatars réglementaires de celui-ci
en France, jusqu’aux diverses manœuvres qui ont précédé la LME, l’ont ensuite
écornée et ont récemment encore tenté de la détricoter… Quelques approches
macroéconomiques permettent de préciser de quoi il est question et de définir
les notions, hélas souvent absentes d’ouvrages dits « de référence »,
et d’estimer les montants en jeu. Il décortique tous les aspects
microéconomiques et montre leurs interactions avec les décisions de gestion
prises par les entreprises. Les conseils concrets abondent, que ce soit dans
les domaines de la prévention contractuelle, de l’évaluation de la solvabilité,
de la gestion des encours au quotidien, du choix des moyens de paiement ou des
méthodes de recouvrement, tant amiable que contentieux. Les différents outils proposés
par les prestataires externes sont également analysés.
L’objectif est clairement
affiché de remettre entre les mains de chaque entreprise les manettes devant
lui permettre de mieux gérer ses crédits client et fournisseur, plutôt que de
se lamenter de l’absence de coopération spontanée des partenaires. En outre, la
volonté de réintroduire plus de moralité entre les acteurs, notamment dans le
respect des conditions de vente et des engagements pris, affleure à chaque
chapitre. La fluidité des processus administratifs est le complément
indispensable de cet esprit pour traduire dans les faits ce qui a été
contractualisé.
Un tel ouvrage est
indispensable aux étudiants qui abordent dans leur cursus les aspects concrets
du crédit-client ou du crédit-fournisseur. Il peut aider tous les acheteurs et
vendeurs qui négocient les modalités de paiement. Il s’adresse aussi aux crédit
managers nouvellement promus ou appelés à de plus grandes responsabilités dans
leur métier afin d’élargir leur point de vue et mieux cerner les tenants et
aboutissants des différentes composantes. Enfin, il permet aux praticiens
expérimentés de compléter leurs connaissances, voire de remettre en question
certaines idées reçues ou de découvrir quelques idées innovantes pour faire
progresser encore la fonction.
La préface du livre a été
rédigée par Jean-Hervé LORENZI, président de l’Observatoire des délais de
paiement depuis le 5 octobre 2010. En voici un extrait : « le livre
de Bruno et Didier est essentiel à la conjoncture actuelle car il nous donne la
base scientifique et technique de toute réflexion sur ce sujet. La clarté de
l’exposé et le caractère complet des
présentations sont très remarquables et je pense que tout responsable de
trésorerie ainsi que tout étudiant désireux de préparer une carrière financière
se devrait d’en faire un document de base à sa réflexion. »
Une telle appréciation, pour
Bruno Blanchet qui représente le Codinf auprès de l’Observatoire, est d’autant
plus élogieuse qu’elle émane d’un homme dont le degré d’exigence, la pertinence
et le doigté ont été remarquables au long des séances de travail."
mercredi 20 juin 2012
Communiqué de presse - Lancement de l'étude FICAM "L'économie du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia"
Lancement de l'étude FICAM, réalisée par l'OHM en partenariat avec ALTARES
L'ECONOMIE DU CINÉMA, DE L'AUDIOVISUEL ET DU MULTIMÉDIA
10 années de chiffres clés
Jamais aucune étude n'avait été
réalisée pour apporter une vision économique et financière de l'ensemble
de la filière du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia, pour
comprendre, observer et comparer son évolution sur ces 10 dernières années.
La filière du cinéma, de l'audiovisuel et du
multimédia représente plus de 2500 entreprises (80/20)
La FICAM et l'OHM se sont rapprochés en partenariat avec ALTARES et publient :
"L'économie du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia"
L'étude se décompose en 17 catégories réparties en 6 marchés représentant
un chiffre d'affaires consolidé de plus de 80Mds €.
Elle combine une observation macro-économique et une analyse
financière consolidée sur chacun des secteurs analysés, qui permet de disposer
d'une cartographie exhaustive :
- des facteurs comportementaux,
- des facteurs financiers,
- des tendances et perspectives.
mardi 19 juin 2012
Retour sur l'Assemblée Générale de la FICAM / Lancement de l'étude "L'économie du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia"
Thierry De Segonzac (Président de la FICAM) et Dominique Scalia (Président de l'OHM) |
CODINF / Dominique SCALIA rejoint le CODEMBAL en tant qu'administrateur
Dominique SCALIA, président de l'OHM, participe ce jour, à l'Assemblée Générale annuelle de la CODINF ainsi qu'à l'ensemble des comités. Au terme de cette Assemblée Générale, Dominique SCALIA rejoint le CONDEMBAL en tant qu'Administrateur.
L'OHM présent à la conférence de presse de l'Observatoire des achats responsables
Dominique SCALIA, président de l'OHM participe à la conférence de presse de l'Observatoire des Achats Responsables. Celle-ci s'est tenue à l'occasion des Trophées de Achats et nous avons le plaisir de vous restituer la synthèse de l'étude réalisée.
Baromètre RSE PME 2012
Info OHM : Nous attirons votre attention que lors de notre rencontre plénière de l'OHM du 5 juillet prochain, une Table Ronde sur le Thème Développement Durable RSE aura lieu, animée par Christophe DELABRE ainsi que les experts suivants :
Baromètre RSE PME 2012
Info OHM : Nous attirons votre attention que lors de notre rencontre plénière de l'OHM du 5 juillet prochain, une Table Ronde sur le Thème Développement Durable RSE aura lieu, animée par Christophe DELABRE ainsi que les experts suivants :
- Agnès RAMBAUD PACQUIN, Directeur Associé, Des Enjeux et de Hommes
- Laurence HULIN, Directrice Développement Durable, Médiapost
- Antoine SAUVAGE, Directeur Développement Durable, Courtepaille
- Jean-Raphael HETIER, Directeur Commercial GMS et Développement Durable, PepsiCo France
- Maître Christian HUGLO, Associé fondateur, Cabinet Huglo Lepage
LES ECHOS / PRINCIPALES BRANCHES DONT LE SALAIRE EST INFÉRIEUR AU SMIC VS. L'IMPRIMERIE
Au 15 juin, 15 % des branches, regroupant aussi 15 % des salariés, ont un premier coefficient salarial inférieur au salaire minimum. Ce total risque d'être multiplié par 4 ou par 5 avec le coup de pouce à venir sur le SMIC, qui sera annoncé le 26 juin.
Observation OHM : Nous pouvons constater dans l'étude "l'économie de la communication globale" un salaire mensuel moyen au sein du secteur Imprimerie de labeur, un salaire de 1346€ en évolution de 36% sur les 10 dernières années (base 7 231 entreprises analysées). Cependant il se situe en dessous de la moyenne des salaires de la branche de la communication globale (-26%)
Remise des Trophées des Achats 2012
Les membres du bureau de l’OHM présents à la remise des
trophées des achats 2012 qui s’est tenue hier soir au Casino de Paris .
plus de 1200 participants à cet évènement. Dans le cadre de la remise des
trophées Dominique SCALIA membre du jury des Trophées des Achats a remis
le trophée dans la catégorie Relation Grands groupes /PME au
Lauréat société Astrium
Dans la catégorie Bonnes pratiques achats
le lauréat est Général Cable
Dans la catégorie Achats responsables le
lauréat est BPCE
Dans la catégorie Gestion du risque fournisseur
le lauréat est Bouygues Télécom
Dans la catégorie Evaluation et évolution de la
performance achat le lauréat est Accor
Dans la catégorie Direction et équipe achats de
l’année le lauréat est Carrefour
Dans la catégorie Trophée des étudiants acheteurs
les lauréats ex aequo sont Nataliya Molchanova ESG) et Olivier
Gourmelon (IAE de Toulouse )
Le prix coup de cœur a été attribué à TNT Express
France
Jean- Claude Volot médiateur de la sous-traitance et le
magazine Challenges (cf. notre précédent messages ) ont fait l’honneur de participer
à cet évènement au cours duquel l’étude réalisée par la CDAF ,l’AFCI et
le magazine challenges a largement été commentée par Jean-Claude Volot.
vendredi 15 juin 2012
Evènement / à lire avec la plus grande attention
Jean-Claude VOLOT prend des prises de positions sur les résultats de l'étude menée avec la CDAF, l'ACFCI et Challenges. (La revue Challenges n°305 du 14 au 20 juin 2012)
Indéniablement les travaux et l'implication du médiateur constituent un enjeu majeur pour notre économie nationale et bien entendu pour les 43 000 entreprises qui composent la branche de la communication globale
Rappel : 43 adhérents de l'OHM sont signataires de la Charte de la Médiation et de la CDAF.
Indéniablement les travaux et l'implication du médiateur constituent un enjeu majeur pour notre économie nationale et bien entendu pour les 43 000 entreprises qui composent la branche de la communication globale
Rappel : 43 adhérents de l'OHM sont signataires de la Charte de la Médiation et de la CDAF.
jeudi 14 juin 2012
Délais de règlements : Jean-Claude VOLOT témoigne
Jean-Claude VOLOT, interviewé ce matin sur BFM Business par Stéphane SOUMIER, affirme son rôle et sa posture au sein de la Médiation de la Sous-Traitance et souligne la dégradation des délais de règlements depuis le début de l'année, de plus il fait part de l'étude réalisée sur les délais de paiements avec Challenges.
Nous vous invitons a écouter cette interview de grande qualité : ici
Lancement de l'étude de la filière du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia
Dans le cadre de l'Assemblée Générale de la FICAM (Fédération des industries du Cinéma, de l'Audiovisuel et du Multimédia) qui s'est tenue ce jour, l'OHM a présenté l'étude de la filière du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia.
Cette étude apparaît comme indispensable au moment même où les Industries Techniques sont confrontées aux bouleversements technologiques liés au raz-de-marée du numérique associé à un contexte économique difficile imposant diverses restructurations.
Fort de ce constat la FICAM et l'OHM ont réuni leurs expertises afin de réaliser l’étude de la filière du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia.
Cette étude se fonde sur les chiffres publiés par les 80/20 soit 2 544 entreprises de la filière du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia en France entre 2001 et 2010. Ces entreprises sont réparties en 17 catégories, déterminées en fonctions de leurs activités.
La mise en perspective des évolutions constatées pour 2010 a été faite sur la base de tendances issues d’une observation de plus de 50% des entreprises qui avaient déjà publié leurs comptes sur cette période.
L’étude "L’économie du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia" se décompose en 17catégories réparties dans 6 marchés composant la filière du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia.
La filière représente un chiffre d’affaires de 80 753 697 Mds €, pour un nombre de 2 544 entreprises.
Cette étude apparaît comme indispensable au moment même où les Industries Techniques sont confrontées aux bouleversements technologiques liés au raz-de-marée du numérique associé à un contexte économique difficile imposant diverses restructurations.
Fort de ce constat la FICAM et l'OHM ont réuni leurs expertises afin de réaliser l’étude de la filière du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia.
Cette étude se fonde sur les chiffres publiés par les 80/20 soit 2 544 entreprises de la filière du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia en France entre 2001 et 2010. Ces entreprises sont réparties en 17 catégories, déterminées en fonctions de leurs activités.
La mise en perspective des évolutions constatées pour 2010 a été faite sur la base de tendances issues d’une observation de plus de 50% des entreprises qui avaient déjà publié leurs comptes sur cette période.
L’étude "L’économie du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia" se décompose en 17catégories réparties dans 6 marchés composant la filière du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia.
La filière représente un chiffre d’affaires de 80 753 697 Mds €, pour un nombre de 2 544 entreprises.
Innovation adhérent OHM : La VOOcard
La Voo Card conçue par Evoo emballe les chocolats ou confiseries offerts avec le café dans les brasseries, restaurants et établissements de chaînes. Ce support publicitaire original et agréable à décortiquer se veut solidaire: le pliage est réalisé à la main par des personnes en difficulté d’insertion. Personnalisable, la Voo Card peut proposer du couponing, des jeux ou encore des QR Codes.
mercredi 13 juin 2012
Règlements des conflits : la médiation aboutit dans 70 % des cas
Inexécution des contrats, conflits entre associés ou désaccord sur un brevet, de plus en plus de litiges en entreprise se règlent désormais par la médiation. Selon le baromètre annuel du Centre de médiation et d'arbitrage de Paris paru cette semaine, 70 % des médiations se soldent par un accord (baromètre effectué en 2011 sur la base de 270 dossiers). Pour les dirigeants d'entreprise, ce mode de résolution des conflits est doublement avantageux. Généralement beaucoup plus rapide qu'une procédure judiciaire (la plupart des dossiers se règlent en quelques jours de discussion contre plus d'une année de procédure parfois devant le tribunal de commerce de Paris), c'est aussi une solution beaucoup moins onéreuse car 57 % des médiations n'excédent pas 5.000 euros en frais de prestations. Autre avantage : l'accord entre les parties et le montant du litige resteront confidentiels.
L'une des nouveautés du baromètre 2011 du CMAP est la présence de plus en plus importante de dirigeants d'entreprise parmi les médiateurs. Alors qu'ils n'étaient que 21 % à se prêter à cet exercice en 2009, ils représentent aujourd'hui près d'un médiateur sur deux. L'autre moitié étant constituée d'avocats ou d'anciens magistrats. Pour les entreprises qui se tournent vers la médiation, avoir un de leurs pairs comme médiateur est l'assurance de parler à un interlocuteur qui connaît leurs problématiques, « mais les chefs d'entreprise qui sont médiateurs n'exercent pas forcément leur mission dans un secteur d'activité qu'ils connaissent. C'est même plutôt le contraire qui se produit, de manière à avoir quelqu'un qui a un regard neuf », explique le CMAP. Pour Stéphane Bénouville, avocat associé chez Freshfields, responsable du contentieux, « l'idéal est d'avoir deux médiateurs, un technicien du droit, souvent ancien magistrat du tribunal de commerce, et un banquier ou un chef d'entreprise ».
Rappel : plus de 45% des adhérents de l'OHM sont signataires de la Charte de la Médiation et de la CDAF
mardi 12 juin 2012
Le financement des PME depuis dix ans vs. la branche de la communication globale
A l’occasion da salon Planète PME qui se tiendra le 28 juin prochain, KPMG a réalisé une étude sur l’évolution des PME depuis 10 ans en matière, entre autres, de financement et d’investissement.
Réalisée par KPMG pour la CGPME, cette étude passe à la loupe les leviers de
croissance des PME en analysant l’évolution de l’emploi, de l’innovation, de
l’export et du financement sur la dernière décennie. Les premiers enseignements
de cette enquête montrent une baisse régulière des investissements des petites
sociétés depuis 10 ans. En 2005, 70 % des dirigeants déclaraient avoir réaliser
un investissement contre 55 % en 2011. Cette diminution a été, d’après KPMG,
aggravée par la crise.
Concernant les demandes de financement, même situation. Depuis 2009, les petits patrons ne cessent de se restreindre dans leurs investissements et leurs demandes de crédit auprès des banques. En mars 2012, près d’un dirigeant sur trois s’autocensure dans l’accès au crédit et constate des mesures de durcissements des banques (frais élevés, montants plus faibles que souhaités, demandes de garanties supplémentaires, réduction des crédits ou des facilités de trésorerie, augmentation des délais d’attribution).
En France, les PME ne réalisent qu’un quart des investissements de l’ensemble des entreprises : 39 % pour les grandes entreprises, 37 % pour les ETI et 23 % pour les PME. Un manque à gagner important car de nombreuses études montrent que les entreprises qui investissent dans l’export ou l’innovation sont plus solides. D’après KPMG, le modèle gagnant de la compétitivité des petites entreprises passe par une présence à l’international, un développement de l’innovation et des opérations de croissance externe. 70 % des PME considèrent en effet l’innovation et la R&D comme une stratégie clé du développement.
Réduction des demandes de financement
Concernant les demandes de financement, même situation. Depuis 2009, les petits patrons ne cessent de se restreindre dans leurs investissements et leurs demandes de crédit auprès des banques. En mars 2012, près d’un dirigeant sur trois s’autocensure dans l’accès au crédit et constate des mesures de durcissements des banques (frais élevés, montants plus faibles que souhaités, demandes de garanties supplémentaires, réduction des crédits ou des facilités de trésorerie, augmentation des délais d’attribution).
Des PME qui investissent peu
En France, les PME ne réalisent qu’un quart des investissements de l’ensemble des entreprises : 39 % pour les grandes entreprises, 37 % pour les ETI et 23 % pour les PME. Un manque à gagner important car de nombreuses études montrent que les entreprises qui investissent dans l’export ou l’innovation sont plus solides. D’après KPMG, le modèle gagnant de la compétitivité des petites entreprises passe par une présence à l’international, un développement de l’innovation et des opérations de croissance externe. 70 % des PME considèrent en effet l’innovation et la R&D comme une stratégie clé du développement.
Article des Echos du 11 juin 2012
Nous constatons au travers de "l'économie de la communication globale", une atomisation de la branche de la communication globale composée principalement de TPE-PME. En effet 91% des entreprises réalisent un chiffre d'affaires inférieur à 1M€ et consolident 12.5% du chiffre d'affaires de la branche de la communication globale.
Qu'en est-il pour la branche de la communication globale?
Votre point de vue nous intéresse !!
lundi 11 juin 2012
L'OHM et le club Bois & Forêts
Dans le cadre de notre partenariat avec le club parlementaire Bois & forêts vous trouverez ci-après la veille politique et parlementaire Bois & forêts.
Découvrez la Newsletter n°28
Découvrez la Newsletter n°28
Lettre CODINF juin 2012
Comme chaque mois, notre partenaire CODINF, spécialiste de la maîtrise du risque client par secteur professionnel, publie sa lettre mensuelle.
Découvrez l'ensemble des éléments
jeudi 7 juin 2012
Ordre du jour - Intervenants / Rencontre OHM du 5 juillet 2012
Rencontre Plénière du 5 juillet 2012 au Palais du Luxembourg - salle Boffrand
à partir de 18h30
Comité Stratégique du mois de juin 2012
IMPORTANT : Sylvie Joseph, Directrice Marketing - La Poste Courrier, nous a fait le plaisir de nous rejoindre au sein du Comité Stratégique de l'OHM.
Ordre du jour :
Ordre du jour :
- Élargissement du Comité stratégique
- Les nouveaux adhérents
- Bilan / Actions à fin mai
- Rencontre plénière du 05 juillet au Palais du Luxembourg
- Mise à jour de l'étude "l'économie de la communication globale"
- Les groupes de travail
- La communication de l'OHM
- ...
IMPORTANT : prévisions relatives à l’éco-contribution EcoFolio pour 2013
IMPORTANT : prévisions relatives à l’éco-contribution EcoFolio pour 2013
EcoFolio négocie depuis près d’un an avec
l’ensemble des acteurs de la filière et les pouvoirs publics les termes de son
nouvel agrément (2013-2018).
Les priorités stratégiques fixées par
l’Etat pour les années à venir devront notamment intégrer :
- la progression du recyclage des vieux
papiers pour atteindre fin 2018 un taux de recyclage de 60% contre 45%
actuellement ;
- l’éco-conception des papiers pour en
faciliter le recyclage.
Ces objectifs ambitieux impliquent pour
l’éco-organisme d’augmenter les dotations financières faites aux collectivités
afin de renforcer les dispositifs techniques de collecte, de tri et de
traitement des papiers et d’emmener la filière vers de meilleures performances
écologiques (politique de prévention et d’éco-conception notamment).
A ce titre, le projet de barèmes remis aux
pouvoirs publics par l’éco-organisme en appui de sa stratégie prévoit une
hausse du montant de l'éco-contribution de 5 à 6 € par tonne, soit une
contribution minimale en 2013 de l’ordre de 45 euros.
Ces financements supplémentaires du service public doivent permettre de recycler davantage tout en impulsant une optimisation de la filière (transition vers des modèles de collecte et de tri rationalisés et moins coûteux). EcoFolio souhaite en effet que ces objectifs environnementaux se conjuguent à une maîtrise des coûts.
Ces financements supplémentaires du service public doivent permettre de recycler davantage tout en impulsant une optimisation de la filière (transition vers des modèles de collecte et de tri rationalisés et moins coûteux). EcoFolio souhaite en effet que ces objectifs environnementaux se conjuguent à une maîtrise des coûts.
A ce stade, la proposition de
l’éco-organisme n’a pas été retenue par les pouvoirs publics et les
collectivités, celles-ci jugeant les efforts financiers insuffisants.
Nous mettons tout en œuvre pour faire
accepter cette proposition de barèmes qui demeure provisoire et pourrait être
réévaluée sur demande de nos ministères d’agrément.
Toutefois, nous souhaitions, dès à présent et en complément des messages d’ores et déjà adressés à vos organisations professionnelles, attirer votre attention sur cette hausse afin que vous puissiez en tenir compte dans vos activités.
Toutefois, nous souhaitions, dès à présent et en complément des messages d’ores et déjà adressés à vos organisations professionnelles, attirer votre attention sur cette hausse afin que vous puissiez en tenir compte dans vos activités.
Claude
MARCHAND
PAGES JAUNES
PAGES JAUNES
Président
d'Ecofolio
vendredi 1 juin 2012
Tendances Internet 2012
Mary Meeker vient de mettre en ligne ses « Tendances Internet
2012 », où elle explique que « Nous entrons dans l’âge de l’internet
mobile, qui est aussi celui de la monétisation des services en ligne ».
Elle observe qu’en avril, 10 % du
trafic internet se faisait via un mobile et qu’aujourd’hui l’ère du mobile
produit déjà des revenus. L’an dernier le marché des services mobiles a atteint
12 milliards de dollars dont 71 % provenant des applications. Le géant de cette
nouvelle économie est évidemment Apple dont le chiffre d’affaire des
« apps » s’est élevé à 4 milliards de dollars en trois ans. Du côté
de la publicité, c’est Google, qui avait indiqué atteindre un chiffre d’affaire
de 2,5 milliards de dollars sur le mobile pour 2011.
Cependant, certaines entreprises
de services en lignes constatent que le revenu moyen par internaute est moins
élevé sur le mobile que sur le fixe. Chez Google, l’essor de la publicité
mobile ralentit la croissance du chiffre d’affaire, de même pour Facebook dont
les revenus publicitaires ont crû de 37 % au premier trimestre, contre 87 % un
an plus tôt. Le réseau social compte 488 millions de mobinautes contre 288
millions il y a un an. Mary Meeker reste persuadée que le mobile sera mieux
monétisé que l’internet fixe au Etats-Unis d’ici un à trois ans
« L’internet fixe a prouvé que les dollars de la publicité suivaient le
nombre de visiteurs, cela prend juste du temps ».
Retrouvez l'article des Echos ici
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