Réalisée par KPMG pour la CGPME, cette étude passe à la loupe les leviers de
croissance des PME en analysant l’évolution de l’emploi, de l’innovation, de
l’export et du financement sur la dernière décennie. Les premiers enseignements
de cette enquête montrent une baisse régulière des investissements des petites
sociétés depuis 10 ans. En 2005, 70 % des dirigeants déclaraient avoir réaliser
un investissement contre 55 % en 2011. Cette diminution a été, d’après KPMG,
aggravée par la crise.
Concernant les demandes de financement, même situation. Depuis 2009, les petits patrons ne cessent de se restreindre dans leurs investissements et leurs demandes de crédit auprès des banques. En mars 2012, près d’un dirigeant sur trois s’autocensure dans l’accès au crédit et constate des mesures de durcissements des banques (frais élevés, montants plus faibles que souhaités, demandes de garanties supplémentaires, réduction des crédits ou des facilités de trésorerie, augmentation des délais d’attribution).
En France, les PME ne réalisent qu’un quart des investissements de l’ensemble des entreprises : 39 % pour les grandes entreprises, 37 % pour les ETI et 23 % pour les PME. Un manque à gagner important car de nombreuses études montrent que les entreprises qui investissent dans l’export ou l’innovation sont plus solides. D’après KPMG, le modèle gagnant de la compétitivité des petites entreprises passe par une présence à l’international, un développement de l’innovation et des opérations de croissance externe. 70 % des PME considèrent en effet l’innovation et la R&D comme une stratégie clé du développement.
Réduction des demandes de financement
Concernant les demandes de financement, même situation. Depuis 2009, les petits patrons ne cessent de se restreindre dans leurs investissements et leurs demandes de crédit auprès des banques. En mars 2012, près d’un dirigeant sur trois s’autocensure dans l’accès au crédit et constate des mesures de durcissements des banques (frais élevés, montants plus faibles que souhaités, demandes de garanties supplémentaires, réduction des crédits ou des facilités de trésorerie, augmentation des délais d’attribution).
Des PME qui investissent peu
En France, les PME ne réalisent qu’un quart des investissements de l’ensemble des entreprises : 39 % pour les grandes entreprises, 37 % pour les ETI et 23 % pour les PME. Un manque à gagner important car de nombreuses études montrent que les entreprises qui investissent dans l’export ou l’innovation sont plus solides. D’après KPMG, le modèle gagnant de la compétitivité des petites entreprises passe par une présence à l’international, un développement de l’innovation et des opérations de croissance externe. 70 % des PME considèrent en effet l’innovation et la R&D comme une stratégie clé du développement.
Article des Echos du 11 juin 2012
Nous constatons au travers de "l'économie de la communication globale", une atomisation de la branche de la communication globale composée principalement de TPE-PME. En effet 91% des entreprises réalisent un chiffre d'affaires inférieur à 1M€ et consolident 12.5% du chiffre d'affaires de la branche de la communication globale.
Qu'en est-il pour la branche de la communication globale?
Votre point de vue nous intéresse !!
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