mercredi 29 mai 2013

Quelles sont les entreprises du CAC 40 qui n'ont pas signé la charte des relations inter-entreprises ?

Actuellement, 386 entreprises ont signé la charte des relations inter-entreprises et s'engageant à avoir des relations saines et équilibrées avec leurs fournisseurs et leurs sous-traitants. Quatorze entreprises du CAC 40 n'ont pas signé ce document, parmi lesquels Carrefour, Publicis, Renault et LVMH.

Certaines anecdotes sont savoureuses. Lundi, lors de la présentation du bilan annuel de la Médiation inter-entreprises, Pierre Pelouzet, le médiateur national des relations inter-entreprises a expliqué qu’au cours d’un récent voyage à Stuttgart, ses interlocuteurs allemands s’étaient demandé si la traduction de leurs échanges était bien fidèle. « A chaque fois que j’évoquais nos difficultés à résoudre nos problèmes de délais de paiement, l’incompréhension était totale. Après avoir enfin compris le sens de ma question, ils m’ont expliqué qu’ils n’avaient pas ce type de difficultés en Allemagne. Si le contrat est durement négocié outre-Rhin, il est en revanche parfaitement respecté », a expliqué Pierre Pelouzet.
Un quart des faillites d’entreprises due aux retards de paiement
Ce n’est malheureusement pas le cas en France, où les retards de paiement sont estimés à une douzaine de milliards d’euros, fragilisant la trésorerie des entreprises et en particulier des plus fragiles d’entre elles. « Les impayés provoquent un quart des faillites d’entreprises », rappelle Pierre Pelouzet qui espère que les entreprises, toutes tailles confondues, aient enfin des relations équilibrées entre elles.
En clair, qu’elles payent leurs factures, qu’elles ne rompent pas unilatéralement et brutalement les contrats, qu’elles ne pillent pas la propriété intellectuelle de leurs fournisseurs et, petite nouveauté, qu’elles ne réclament pas des ristournes de 2% à 4% à leurs sous-traitants et à leurs fournisseurs au prétexte que ces derniers ont bénéficié du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) qui allège leur masse salariale ! Un espoir partagé par Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif.
« Le fort ne doit plus épuiser le faible. Les contrats, comme les lois, doivent être respectés. Le made in France est la cause de toutes les entreprises, des plus petites aux plus grandes. Il faut passer de la compétition à la coopération. Pendant la crise, les entreprises les plus résistantes sont celles qui ont adopté un comportement holiste et non pas individualiste », a déclaré le ministre.
Des non-signataires dans tous les secteurs
Le message est-il porté jusque dans les hautes sphères du CAC 40 ? En partie seulement, malheureusement. Sur les 40 membres de l’indice phare de la Bourse de Paris, 14 n’ont pas encore signé la charte des relations inter-entreprises déjà paraphée par 386 entreprises publiques, privées et des administrations. Bien évidemment, rien n’indique que ces entreprises n’ont pas un comportement vertueux. Mais en ne signant pas cette charte, ils laissent le doute s’installer.

Qui manque à l’appel ? LVMHVivendi, Unibail, Essilor, Arcelor-Mittal, PPRCarrefour, Solvay,TechnipRenault, Publicis, AccorVallourec et Gemalto. En signant cette charte, ils prendraient dix engagements, notamment assurer une équité financière vis-à-vis de ses fournisseurs, favoriser la collaboration entre grands donneurs d’ordres et fournisseurs stratégiques, réduire les risques de dépendances réciproques entre donneurs d’ordre et fournisseurs… 

Le GIE BALmétrie présente les premiers résultats de sa mesure d’audience

49,9 millions de français lisent en moyenne 12,5 courriers publicitaires chaque semaine

L'Observatoire COM MEDIA, membre du GIE BALmétrie

Créé en mars 2011 pour développer le premier outil de mesure de l’audience du courrier publicitaire (courrier adressé et imprimés publicitaires) le GIE BALmétrie publie aujourd’hui les premiers résultats de l’étude réalisée par IPSOS MediaCT*, avec le support du CESP (Centre d’Etude des Supports de Publicité) 

Des chiffres qui entérinent la puissance du média courrier, dressent un profil des lecteurs et de leur mode de consommation du média, permettant ainsi de poser les premiers éléments de media planning pour le courrier publicitaire.



Un média puissant
En moyenne, sur une semaine, 97,6 % des Français ont au moins un contact avec le média courrier (adressé publicitaire, relationnel ou imprimé publicitaire). En moyenne par jour, le média courrier touche déjà près de 6 français sur 10 (55,8%). 
Sur une semaine moyenne 80,7% des Français auront lu au moins un courrier relationnel (administratif, factures, relevés de compte), 77,5% au moins un imprimé publicitaire et 66,1% un courrier publicitaire adressé. Chaque lecteur effectue 12,5 lectures par semaine (cumulant des premières lectures de documents et des reprises en main) dont 7,5 concernent les imprimés publicitaires.


Un lectorat très diversifié

Les résultats de l’enquête battent en brèche certaines idées reçues : si le profil du lectorat du courrier publicitaire dans son ensemble montre des niveaux de lectures un peu plus élevés auprès du public féminin et des plus de 50 ans, les individus de 15-34 ans présentent des niveaux de lectures conséquents (8,8 courriers en moyenne par semaine vs 12,5), au même titre que les hommes (11,8 vs 12,5).


Des modes de lecture passés au crible
L’étude Balmétrie propose pour la première fois de s’intéresser précisément à la façon dont les Français lisent leur courrier. Ainsi, la notion de lecture repose sur un indicateur qui permet d’obtenir des résultats selon trois attitudes vis-à-vis des documents : lus attentivement, parcourus ou survolés ». Sans surprise, la lecture des courriers relationnels (administratifs et de gestion) s’avère très attentive (79% des lectures sont déclarées comme telles).
A contrario, les imprimés publicitaires bénéficient d’une lecture attentive dans seulement 36 % des cas. Rien de surprenant à cela dans la mesure où le contenu de ces documents (le plus souvent présentation de produits avec des prix) appelle plutôt une consultation du type « parcourir» voire « survoler », sans préjuger pour autant de l’efficacité du support.

Du nouveau dès 2014
Dès le début de l’année prochaine, Balmétrie permettra de poser la distinction entre les 1ères lectures et les « reprises en main ». Cette approche est fondamentale afin d’élaborer l’outil de média planning le plus précis et performant possible. Plusieurs tests en grandeur réelle ont été menés depuis le lancement de l’étude afin de déterminer la meilleure approche sur la nature de la question. 

Pour Eric Trousset, Président de Balmétrie : «Balmétrie va permettre un travail tout en finesse sur des profils sociodémographiques et sur des territoires, c’est-à-dire sur des critères de choix beaucoup plus précis pour les médiaplanneurs afin d’optimiser leurs décisions. »


A propos de l’étude Balmétrie
*Menée auprès de la population française métropolitaine, l’étude a été réalisée de mars 2012 à février 2013. Au total 11 901 personnes ont été interrogées, pour un total de 145 434 actes de lecture recensés. Issus d’une technique hybride, les réponses des individus sont pour 74% online et 26% en papier.


A propos du GIE BALmétrie
Lancé en mars 2011, BALmétrie est un Groupement d’Intérêt Economique (GIE) qui rassemble La Poste, MEDIAPOST, MEDIAPOST Publicité, Adrexo, le SNCD (Syndicat National de la Communication Directe), l'Observatoire COM MEDIA et le CRTM (Club de Recherche Tous Médias). Ses objectifs sont de valoriser la puissance et l’affinité des campagnes courrier et la complémentarité cross-média, démontrer la modernité et l’attractivité du media auprès des consommateurs et donner au courrier publicitaire un attribut supplémentaire pour être reconnu en tant que media. Le GIE BALmétrie est présidé par Eric Trousset, DGA Etudes et Marketing de MEDIAPOST Publicité.

mardi 28 mai 2013

L'Observatoire COM MEDIA, partenaire de BALmétrie : Le courrier a maintenant sa mesure d'efficacité

La naissance d’une mesure d’audience est un événement assez rare dans la profession.
Après un an de tests, (voir archive) le média courrier a dorénavant la sienne au même titre que les autres médias.  En attendant, Eric Trousset, Président du GIE Balmétrie, nous détaille en vidéo les enjeux de cette étude qui a été opérée par Ipsos MediaCT, ses coulisses, son coût. En avant-première et en teaser de la révélation de mercredi, il nous livre deux chiffres-clés sur le média courrier. (Source Offre Média)

L'Observatoire COM MEDIA, membre du GIE BALmétrie, vous propose la restitution des résultats par Eric Trousset, le 8 juillet prochain lors de sa conférence plénière. (plus d'informations : ici)

lundi 27 mai 2013

Médiation inter-entreprises : Arnaud Montebourg et Pierre Pelouzet témoignent



Dominique SCALIA, Président de l'Observatoire COM MEDIA, présent ce jour à la Cérémonie officielle de remise du rapport d'activité de la Médiation inter-entreprises à Monsieur Arnaud Montebourg, Ministre du Redressement Productif.

A l'occasion de cet événement, une nouvelle vague de signature de la Charte des relations inter-entreprises a eu lieu.


Les messages portés par Pierre Pelouzet, Médiateur des relations inter-entreprises :

  • Sur le thème de "La confiance"
    • "La confiance dans les outils"
    • "Les changement de comportement grâce à la Charte"
    • "La mise en place du Label relations fournisseurs responsables"
    • "L'appui des filières"
    • "Pacte PME"
"Plus de solidarité, plus d'éthique dans les relations inter-entreprises."

Les messages portés par Arnaud Montebourg, Ministre du redressement productif : 
  • "C'est tout l'esprit de la Médiation qu'il faut retenir, l'esprit du dialogue de préférence à l'affrontement"
  • "Il s'agit d'un intérêt collectif favorisant la coopération et la "co-pétition" "
"En synthèse, la Médiation fabricant de confiance"


Crédit d'impôt compétitivité : Montebourg veille au grain

Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, a mis en garde lundi les grandes entreprises qui pratiqueraient le "racket au CICE".


Arnaud Montebourg participait à la signature de la Charte des relations inter-entreprises. © JOHN THYS / AFP
Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a promis lundi de prendre son téléphone pour appeler les grands groupes qui tenteraient de soutirer à leurs fournisseurs leur crédit d'impôt compétitivité emploi sous forme de remises. "Si une pratique de cette nature venait à se répandre, le médiateur doit être saisi et si le ministre de tutelle doit l'être, il le sera et il prendra son téléphone pour ne pas dire davantage à l'égard des grands groupes qui pourraient se comporter de la sorte", a déclaré Arnaud Montebourg devant un parterre de médiateurs inter-entreprises et d'entrepreneurs à Bercy.
Le médiateur inter-entreprises Pierre Pelouzet venait de rappeler qu'il avait déjà constaté des tentatives de la part de grands groupes de délester de leur CICE les PME travaillant pour eux, sous forme de réduction illégale de prix. "Le pire : le racket au crédit impôt compétitivité emploi est une nouvelle forme de traduction de ce rapport de force déséquilibré entre donneurs d'ordres et sous-traitants", a déclaré Arnaud Montebourg après avoir cité le "top trois" de ces mauvaises pratiques : le non-respect des délais de paiement, la rupture brutale du contrat et le détournement de la propriété intellectuelle.
"Il n'est pas question que ce crédit d'impôt, qui (...) a pour objectif d'aider d'abord les petites et moyennes entreprises et les entreprises de taille intermédiaire en recherche de croissance, puisse finalement filer par perfusion-absorption vers les grands groupes et les grands comptes donneurs d'ordres", a-t-il ajouté. "Je lance un appel à toutes les entreprises, quelle que soit leur taille" : si après avoir saisi le médiateur, "elles souhaitent avoir encore le secours du gouvernement, elles me saisiront directement à Bercy et je ferai ce qu'il faut pour que ces pratiques cessent", a-t-il dit, en précisant ne "pas encore" avoir eu l'occasion de le faire. Arnaud Montebourg participait à la signature de la Charte des relations inter-entreprises et s'est vu remettre le rapport d'activité de la médiation sur le sujet.
(Source le Point)

I-expo 2013 - "Valorisation de l'information et décloisonnement comme levier d'innovation"


Dominique SCALIA, Président de l'Observatoire COM MEDIA présidera la conférence "Valorisation de l'information et décloisonnement comme levier d'innovation" sur le Salon Iexpo avec la participation de l'AACC, de Stratégies et de l'Union des Annonceurs (UDA).

Cette conférence de 2 heures se déroulera le mercredi 12 juin de 12h15 à 14h15

Vous souhaitez participez à cette conférence : Par ici

vendredi 24 mai 2013

Rencontre de l'Observatoire COM MEDIA en région Rhône-Alpes


Invitation
Mercredi 19 juin 2013
Rencontre plénière en région Rhône-Alpes
à partir de 9h00

Dans le cadre prestigieux de la 
CCI de Lyon

9h15 - Introduction par Emmanuel IMBERTON, Vice Président de la CCI de Lyon
9h30 - L'économie et l'efficacité de la communication
10h30 - Quels enseignements de la signature de la Charte des relations inter-entreprises
11h00 - L'innovation de la communication globale


jeudi 23 mai 2013

Conférence exceptionnelle : Mesure d'efficacité des moyens de communication / BALmétrie, mesure d'audience du média courrier

La 3ème rencontre plénière 2013 de l’Observatoire COM MEDIA se tiendra salle Victor-Hugo, (Métro Assemblée Nationale) à Paris le 8 juillet prochain.

Lors de cette rencontre exceptionnelle, l’Observatoire COM MEDIA présentera les résultats de l’étude sur l’efficacité des moyens de communication réalisée en partenariat avec TNS Sofrès. L’ensemble de ces données apportera une valeur précieuse pour l’ensemble des acteurs de la communication globale, tant pour les Annonceurs dans le cadre de leurs arbitrage des moyens, que pour les Prestataires dans le cadre de la promotion de leurs offres. Cette restitution sera animée par Sylvie Joseph, Directrice Marketing de La Poste ainsi que Valérie Morrisson, Directrice Associée chez TNS Sofrès. De plus, des intervenants prestigieux de profils Annonceurs et Prestataires de la communication globale apporteront leurs visions.

Dans une seconde partie, Eric Trousset, Président du GIE BALmétrie et DGA études et marketing de Médiapost Publicité ainsi que l’ensemble des partenaires de l’étude (Médiapost Publicité, La Poste, Médiapost, Adrexo, SNCD, l’Observatoire COM MEDIA, CRTM), dévoileront les résultats de l’étude BALmétrie "Mesure d’audience du média courrier". L’enquête balaie de nombreuses idées reçues, installant durablement le courrier comme outil moderne et efficace chez les acteurs de la communication globale.

Dans une dernière partie, 5 projets innovant seront soutenus par leur dirigeant selon le principe "3 minutes pour convaincre".

A la suite des débats un cocktail vous sera proposé.

mercredi 22 mai 2013

Conférence/atelier : www.rse-evenement.org - qu'avons nous appris sur la RSE ?


A l’occasion de la Journée Mondiale de l'Environnement, un an jour pour jour après le lancement de rse-evenement.org, le collectif Eco-événement dressera le 1er bilan de l'outil d'autodiagnostic RSE.

Composé des principales associations professionnelles de la filière événementielle : ANAé, CSPE, FFM2E, France Congrès, FSCEF, Synpase et Traiteurs de France, le collectif Eco-événement a le plaisir de vous convier


le mercredi 5 juin à 9h
au Palais des Congrès de Paris - Salle Passy (1er étage, côté Paris)

A cette occasion, seront présentés pour la presse et les professionnels de la filière les enseignements tirés du fonctionnement de l’outil d’autodiagnostic en ligne : rse-evenement.org

www.rse-evenement.org est un outil gratuit et en ligne d'initiation à la RSE, destiné aux 700 entreprises membres des associations professionnelles composant le collectif "Eco-événement", mais également à toute PME désirant initier une telle démarche.

Qu'est-ce que la RSE ? Comment s'engager dans une démarche RSE ? Par où commencer ? Quelle est la feuille de route RSE de mon entreprise ? Comment m'informer ? Où se situe mon entreprise en matière de RSE ? Voici quelques-unes des questions auxquelles le site, didactique et évolutif, permet de répondre.

A l'aide des statistiques du site, nous tirerons les premiers enseignements de l'intégration de la démarche RSE dans la filière de la communication événementielle et …. du chemin à parcourir.

La conférence de presse se poursuivra par des démonstrations individuelles en ligne du site www.rse-evenement.org.

Conférence à destination de la presse et des entreprises de la filière événementielle

Entrée libre sur inscription préalable (dans la limite des places disponibles)

Contacts presse & inscriptions :
Sandrine Christon - 01 70 36 32 04 - infos@anae.org

La médiation interentreprises tarde à prendre ses marques


La médiation interentreprises propose un mode de résolution des conflits rapide et efficace.
Pourtant, cette solution gratuite et confidentielle est encore peu connue des entreprises.


Il y a ceux qui l'ont testée et semblent pour le moins convaincus. Et ceux, bien plus nombreux, qui ne connaissent pas la médiation interentreprises, pourtant créée il y a quelque trois ans. Relevant aujourd'hui du ministère du Redressement productif, cette structure d'une quarantaine de médiateurs se tient à la disposition des entreprises pour les aider à résoudre leurs conflits. Gracieusement.
Le principe ? Plutôt que de se tourner vers les instances judiciaires, les entreprises s'adressent au médiateur. Ni juge, ni arbitre, ni même expert, mais « neutre, impartial et indépendant », celui-ci les aide à trouver une solution mutuellement acceptable à leur différend. « La médiation offre un mode de résolution des conflits efficace et gratuit pour les entreprises… C'est un outil extraordinaire de changement des comportements : nous sommes là pour faire évoluer les gens du mode de la confrontation à celui de la collaboration », explique avec enthousiasme le médiateur national des relations interentreprises depuis novembre dernier, Pierre Pelouzet. «  C'est un vrai challenge dans un pays comme la France où, traditionnellement nous sommes davantage dans le conflit - et la loi du plus fort. »
En filigrane, sont avant tout visés les conflits entre de grandes entreprises et leurs fournisseurs PME. Délais de paiement, incidents contractuels, marges avant ou marges arrière, etc., nombreux sont les éléments de désaccord. « Les relations professionnelles sont souvent déséquilibrées en France. Les grandes entreprises, souvent basées à Paris, ont du mal à créer du lien et échanger avec les PME, basées en province : l'immense majorité de nos médiations intervient dans ce cadre. Nous aidons à rééquilibrer, réhumaniser des relations entre petites, moyennes et grandes entreprises : ces dernières doivent impérativement prendre conscience de l'impact que leur comportement peut avoir sur des petites structures », explique Pierre Pelouzet. Selon lui, les difficultés apparaissent à tout moment, à l'application d'un contrat comme dans le déroulement ou l'interruption de celui-ci. Et tous les secteurs d'activité sont concernés, de l'industrie (40 % des affaires) - à l'origine, secteur le plus touché - au luxe, services, grande distribution, énergie, santé, etc. « Les médiations portant sur les délais de paiement - qui représentent entre 30 et 40 % des dossiers que nous recevons - sont en général simples et rapides, car il s'agit simplement de faire respecter la loi »,précise le médiateur.



Rapide et économique

Les atouts de la démarche sont nombreux. En termes de calendrier, tout d'abord. Alors que les procédures judiciaires s'estiment en années, il est, là, question de semaines, voire de jours. «  Cela peut prendre une heure s'il s'agit d'un simple malentendu, mais, en général, les médiations aboutissent dans un délai moyen de quinze jours à trois mois », relève Pierre Pelouzet. Par ailleurs, dans la formule proposée par l'Etat, la médiation est gratuite «… alors qu'il faut compter 50.000 et 100.000 euros par partie et par instance pour un conflit judiciaire. Les entreprises ne peuvent pas se le permettre », rappelle Charles Coutier, ancien dirigeant de Coutier Industrie, qui a fait appel à la médiation une quinzaine de fois au cours des trois dernières années (voir exemple complet sur le Web). En termes de réputation, également, puisqu'elle est confidentielle. Enfin, et surtout, la médiation permet la poursuite des relations commerciales entre les partenaires un temps fâchés… « Le médiateur est là pour ménager les deux côtés. J'ai non seulement gardé ma relation commerciale avec mon client, mais, depuis la médiation, nous avons signé de nouvelles licences, pour de nouveaux modules », explique Bruno Péau, PDG de l'éditeur de logiciels WinLog, qui a été sauvé par la médiation, alors que son entreprise était sur le point de mettre la clef sous la porte à la suite d'un désaccord commercial avec l'un de ses principaux clients (voir exemple complet sur le Web). La clef du succès ? « Mettre des gens autour d'une table pour qu'ils se parlent et s'écoutent permet de résoudre les conflits, car on réintroduit de l'humain dans la relation commerciale. Les grandes entreprises et les PME évoluent dans des mondes différents, avec des unités de travail, des échelles, sans rapport. Il faut ramener chacun dans le monde de l'autre… », assure Pierre Pelouzet. Et çamarche : le taux de réussite affiché par le médiateur interentreprises atteint 80 %.« Nous recevons plusieurs centaines de dossiers par mois. Compte tenu des médiations menées avec des fédérations ou des syndicats et des médiations de branche, nous avons aidé plus de 230.000 entreprises en trois ans. »
Pourtant, la médiation reste très confidentielle. « Autour de 40 % des dirigeants d'entreprise ignorent encore son existence », juge Pierre Pelouzet. Au-delà de l'ignorance, il y a aussi la méconnaissance. «  Beaucoup de responsables de PME redoutent des mesures de rétorsion de la part de leurs clients… Dans la réalité, c'est faux : il n'y a ni rétorsion ni "black-listage" après une médiation. Il y a plutôt une augmentation des relations commerciales, car elles repartent sur de meilleures bases », explique Pierre Pelouzet. Beaucoup de pédagogie et d'évangélisation semblent donc encore nécessaires.

par Cécile Desjardins Copyright Les Echos

Petit-déjeuner : Comment le numérique fait bouger l'entreprise ?





Les Echos, en partenariat avec La Poste Solutions Business et Docapost, sont heureux de vous inviter au petit-déjeuner table ronde, animé par Arnaud Le Gal, Rédacteur en chef des Echos, sur le thème :


« Vers l’entreprise numérique »
Compétitivité, relation client, qualité de vie au travail
Comment le numérique fait bouger l'entreprise ?

Mardi 4 juin 2013 de 8h30 à 10h00

Accueil dès 8h00 au Centre de conférences de Microsoft 
41 quai du Président Roosevelt - 92130 Issy les Moulineaux 
Service voiturier


En présence de : 

Alain Crozier, Président, Microsoft France
Bruno Vantyb, Président, d'Avanquest Software, Vice président du Syntec numérique
Gilles Babinet, Digital Champion de la France auprès de la Commission européenne
Françoise Gri, Directrice Générale du Groupe Pierre & Vacances - Center Parcs
Nicolas Routier, Directeur Général du Courrier, PDG de Sofipost

Date limite de pré-inscription : Vendredi 24 mai 2013
Le nombre de places étant limité, vous ne serez définitivement enregistré qu’à réception d’un email de confirmation.

Une nouvelle organisation professionnelle papetière



Une nouvelle organisation professionnelle papetière a été créée début avril, sous la dénomination de « Union Française des Industries des Cartons, Papiers et Celluloses ». Cette nouvelle entité, qui prend comme sigle « COPACEL », pour « CartOns, PApiers, CELluloses », résulte de la fusion des six syndicats professionnels* jusqu’alors en charge de représenter l’industrie papetière sur des sujets distincts.

La Présidente, Mme Isabelle BOCCON-GIBOD, précise que « cette fusion permettra de gagner en visibilité, tout en harmonisant les messages de chacune des structures professionnelles qui existaient par le passé, et de rationaliser les moyens, comme nous l’impose le contexte économique dégradé que nous connaissons ».

La nouvelle organisation professionnelle a pour objectif de représenter l’industrie papetière française dans toutes ses composantes, et pour toutes les sortes produites (papiers et cartons d’emballage, papiers à usage graphique, papiers d’hygiène, papiers industriels et spéciaux, pâtes de cellulose), les matières premières utilisées (bois, papiers et cartons récupérés), et la taille des entreprises (PME et filiales de grands groupes). Cette logique fédératrice est illustrée par le « O » du logo de COPACEL, dont l’entrelacs matérialise à la fois les différentes familles de produits, leur origine végétale, et leur insertion dans l’économie circulaire.

Cette nouvelle structure a pour ambition d’oeuvrer à la compétitivité de l’industrie papetière et d’améliorer ses performances, notamment en matière d’environnement, de sécurité, et de développement de son capital humain. Pour atteindre ses objectifs, Mme Isabelle BOCCON-GIBOD ajoute « qu’il est indispensable de travailler en lien avec nos partenaires, notamment ceux de la Maison des Industries des Papiers et Cartons (MIP) ».

Le Conseil d’Administration de cette nouvelle structure a nommé comme Délégué Général M. Paul-Antoine LACOUR. M. Jean-Paul FRANIATTE, qui a fait valoir ses droits à la retraite, quittera l’organisation professionnelle fin juin.


Rencontre de l'ANAé - Universités d'été de l'événement 2013 "ÉVÉNEMENT À VENDRE"



Universités d'été de l'événement 2013
"ÉVÉNEMENT À VENDRE"



La 6ème édition des Universités d’été de l’événement se tiendra à Reims, au Centre des Congrès les 3, 4 et 5 juillet prochains.

Pour l'édition 2013, l'ANAé a choisi une thématique au cœur du business de toutes les entreprises.

En effet, en 2013, compétitivité et efficacité seront les maîtres mots de l'économie.
La communication des entreprises et des institutions devra, plus que jamais, savoir intégrer et valoriser ces impérieux enjeux.
Les Universités d'été de l'événement ont donc décidé de consacrer leur prochaine édition à un thème fondamental dans ce paysage où trône le ROI : la VENTE.

A travers le thème "Événement à vendre", l'enjeu sera de débattre et de partager, avec l'ensemble des acteurs de la filière, autour de deux prismes de lecture :

"L'événement pour vendre"
La communication événementielle propose des palettes de solutions innovantes, permettant d'initier, de stimuler, de renforcer les ventes d'un produit, d'un service, une stratégie ou encore d'un projet d'entreprise.

" Vendre un événement"
Comment la filière parvient-elle à convaincre de la plus-value de la communication événementielle ? Une entreprise auprès de ses actionnaires, un communiquant en entreprise auprès de sa hiérarchie, une agence auprès d'un annonceur, un prestataire auprès d'un client…
Comment mieux vendre un projet, un concept, un budget ? Comment mieux valoriser savoir-faire et efficacité événementiels ?

Partage, découverte, échanges, challenges… ce rendez-vous incontournable de la communication est ouvert à tous: annonceurs (responsables marketing, communication, achats), agences, prestataires, journalistes, free-lance, représentants d’organisations professionnelles, étudiants,…





Programme, informations, inscriptions sur : http://anae.org/universite-ete/

mardi 21 mai 2013

Mauvais départ pour le marché publicitaire au 1er trimestre 2013


Dans un contexte économique difficile, caractérisé par une récession (baisse du PIB de - 0,2% au 1er trimestre après - 0,2% au 4ème trimestre 2012), une consommation des ménages en baisse (- 0,1% au premier trimestre), une augmentation continue du chômage depuis 24 mois consécutifs, une baisse historique du pouvoir d’achat en 2012 (- 0,9%, inégalé depuis 1984) qui ne montre pas de signe de redressement jusqu’à présent, les résultats du marché publicitaire ne sont pas bons.

Sur le périmètre de cette nouvelle enquête trimestrielle, les recettes publicitaires nettes des médias s’élèvent à 2,194 milliards €, en diminution de - 9 % par rapport au 1er trimestre 2012.

Pour cette première enquête, Internet (display + search) n’a pas pu être pris en compte pour des raisons techniques. Les études précédentes montrent que son apport de croissance sur l’ensemble du marché est d’environ 1 point. Dans l’hypothèse où sa performance serait du même ordre que celle de l’an passé, cela ramènerait la décroissance au mieux à - 8%.

Tous les médias présentent des chiffres en baisse, la radio étant celui qui résiste le mieux (- 2,5%).

Le tableau ci-après présente les résultats détaillés (en valeur et en évolution) et permet de les mettre en perspective en rappelant les évolutions constatées au 1er semestre 2012 vs 1er semestre 2011, sur l’année 2012 vs 2011, et sur l’année 2009 vs 2008 qui reste celle de la chute historique du marché publicitaire.

En ce qui concerne le cinéma, la forte baisse constatée (- 28,1%) s’explique à la fois par des raisons conjoncturelles, ce média étant, comme les autres, impacté par la crise et aussi par des raisons structurelles majeures (importants changements au niveau des régies). Ajoutons à cela que, compte tenu de sa taille modeste, ce marché nous a souvent habitués à des fluctuations fortes dans un sens comme dans l’autre.

Pour la première fois en France, l’IREP, avec l’appui des afficheurs, est en mesure d’évaluer les recettes de l’affichage digital, qui s’élèvent à 10,6 millions € au 1er trimestre 2013, multipliées par deux versus la même période de 2012.

Source IREP

Dans ce contexte, un baromètre sur l'efficacité des moyens de communication avec une lecture large à 360° apparaît nécessaire.
Cette étude sera présentée le 8 juillet par l'Observatoire COM MEDIA et TNS Sofrès. 

vendredi 17 mai 2013

Séminaire innovation de l'Observatoire COM MEDIA

Le 16 mai dernier l'Observatoire COM MEDIA a tenu son séminaire innovation à Sciences Po en présence de :

Découvrez plus de photos : Par ici

Dans les prochains jours vous découvrirez la synthèse de l'ensemble des travaux ainsi que le plan d'action opérationnel sur ce que doit être l'innovation au sein de l'Observatoire COM MEDIA.


Accords de bonnes pratiques Branche Communication Globale

La dernière réunion plénière sur le thème des accords de bonnes pratiques de la branche de la communication s'est tenue le 15 mai dernier au Ministère de la Défense.

Cette réunion pilotée par : 

  • Jean Bouverot, Chef de la mission achats et responsable ministériel des achats au Ministère de la Défense
  • François Girard, Délégué Général de la CDAF
  • Dominique Scalia, Président de l'Observatoire COM MEDIA
Les représentants du collège filière : 
  • Catherine Michaud, Présidente d'\XL (Groupe TBWA) et Vice présidente de l'AACC
  • Olivier Bronner, Président de Plan Net
  • Jacques Claude, Président de Gutenberg Networks
  • Denis Penel, Directeur achats de Gutenberg Networks
  • Dominique Dorchain, Directeur général de Imprimeries H2D
  • André Martinie, Président de Freelance.com
  • François-Xavier Danel, Directeur Commercial de STORA ENSO
  • Eric Munoz, General Manager de STORA ENSO
  • Didier Amsellem, Sales Manager de STORA ENSO
  • Dominique Leonardi, Président de RDSL
  • Jean-Pierre Masse, Président du conseil d'administration de STACI
  • Thomas Mortier, Président de STACI
  • Jean-Paul Maury, Président de l'Imprimerie MAURY
Les représentants du collège Annonceurs : 
  • Florent PICQ, Chef du service achats tertiaires du courrier à La Poste 
  • Sylvain FRESNAULT, Directeur des achats courrier à La Poste 
  • Nathalie LE GORREC, Directrice achats marketing Sanofi 
  • Jean-Michel BOISSEAU, Directeur de projet en conduite du changement chez FT Orange 
  • Sylvaine DANDRIEUX, Directrice des achats marketing et communication chez FT Orange 
  • François MAURAGE, Direction des achats de la SNCF 
  • Jean-Pierre ROUFFET, Direction des achats de Legrand 
  • Sylvie NOËL, Directrice des Achats chez Covea 
  • Maxence DESCHARD, Acheteurs famille prestation de communication au Ministère de la Défense 
  • Jean Pierre VIGNES, Directeur des Achats de Carrefour 
  • Jean-Luc BARAS, Coordinateurs achats du groupe Eiffage 
  • Caroline BOISSY, Directrice des achats Marketing et Communication à la Société Générale
Les 5 points clés retenus : 
  1. Les compétences distinctives
  2. La visibilité
  3. La transparence et le respect des procédures
  4. L'innovation
  5. La dépendance économique
L'ensemble des points clés retenus doivent permettre de construire les bases de l'accord. Nous publierons tout prochainement les premiers fondamentaux de l'accord.

jeudi 16 mai 2013

Une action collaborative en marche !


La deuxième réunion de partage et d’échanges entre associations, fédérations et syndicats se tenait ce matin à l’Assemblée Nationale.

Les 15 associations réunies sont tombées d’accord pour créer 4 groupes de travail collaboratif sur des thématiques professionnelles transversales comme la RSE/DD avec pour objectif de recenser les avancées de chacune et  de mutualiser les expertises.

A noter également la constitution d’une équipe dédiée «Communication» ascendante à destination des Pouvoirs publics et donneurs d’ordres, descendante vers les adhérents des diverses associations.

Initiative à suivre le 20 Juin!

Les médias en parle // Relation Donneurs d'ordres / Prestataires : "Le racket au crédit d'impôt compétitivité"

L'Observatoire COM MEDIA a permit de dévoiler la 37éme mauvaise pratique dans le comportement Donneurs d'ordres / Prestataires il y a quelques mois aupres de Pierre PELOUZET (Médiateur des relations inter entreprise).

Le Médiateur a relayé dans les médias et plus particulièrement dans le journal "Le Monde" cette 37éme mauvaise pratique.

L'Observatoire COM MEDIA a impliqué son adhérent en la personne de Thomas MORTIER (CEO Staci) pour accompagner Pierre PELOUZET afin de partager et faire valoir ce dysfonctionnement.

Merci au Médiateur et à Thomas MORTIER pour inscrire la relation Donneur d'ordres / Prestataires dans une relation d'avantage équitable et loyale.

Retrouvez l'article d'Europe 1 en suivant ce lien : "Le racket au crédit d'impôt compétitivité"

Retrouvez également les interventions de Pierre PELOUZET et Thomas MORTIER sur les radios Europe 1 et RTL.


Source : Europe 1



Source : RTL

mardi 14 mai 2013

La presse en parle : CBNEWS - L'Observatoire Com Media veut tester l’efficacité des moyens de communication


L’Observatoire Com Media lance un nouveau chantier sur l’efficacité des moyens de communication avec une lecture large à 360°. Les résultats de cette première étude seront orientés plus particulièrement sur les 3 secteurs de la banque, la distribution (GSA) et les télécoms (mobile et FAI). Pour conduire l’étude, les principaux instituts référents en la matière ont été interrogés. C’est l’approche de TNS Sofres sur l’efficacité des moyens de communication qui a été retenue. Elle prendra en compte les dimensions suivantes : l’influence de chaque point de contacts (relationnel, CRM, mass média, digital, point de vente, indirect, sponsoring et events) classé par ordre d’efficacité ; la vision des forces et des faiblesses des marques concernées sur chaque point de contact ; l’apport d’une lecture des points de contacts qui maximisent l’influence ; et enfin la synergie des points de contacts entre eux. Cette étude sera présentée le 8 juillet 2013.

par  Copyright CBNEWS

lundi 13 mai 2013

Secteur de l'Imprimerie : L'évolution du secteur sur la période 2003-2010, tendances 2011

Découvrez l'évolution du secteur de l'imprimerie au cours de la période 2003-2010 selon l'étude l'économie de la communication globale, réalisée par l'Observatoire COM MEDIA et ALTARES

Pour rappel le secteur de l'imprimerie c'est : 
  • 6 668 entreprises identifiées
  • 6,7 Mds € de chiffre d'affaires
  • 82% des entreprises réalisent moins de 1M€ de CA
  • 2 333 création d'entreprises
  • 961 disparitions d'entreprises
  • 34,36K€ c'est le salaire brut moyen d'une ressource 

Le chiffre d’affaires à évolué sur la période de 13% pour l’ensemble de la catégorie. Pour autant le secteur à connue une baisse importante entre 2008 et 2010 (-4%).

Après avoir représenté 1% en 2003, celui-ci à augmenté jusqu’en 2006 (3%) avant de devenir quasi nul en 2010.

De plus nous pouvons constater que 1 062 entreprises ont une croissance de CA supérieure à 10%.

Nous pouvons retenir les principales tendances 2011 suivantes : 
L’observation sur les tendances 2011 (base 2008-2011) a été réalisée sur un panel de 2 973 entreprises représentant un chiffre d’affaires de 5 283 612K€, soit 78% du périmètre global 2010.
• Taux de croissance sur le panel : 3%
• Masse salariale/CA : 29%
• Résultat d’exploitation/CA : 2%
• Bénéfice/CA : 16%

Découvrez l'étude l'économie de la communication globale réalisée par l'Observatoire COM MEDIA et ALTARES



vendredi 3 mai 2013

Premier baromètre d’efficacité des moyens de communication


Les acteurs de la communication globale qu’ils soient annonceurs ou prestataires semblent démunis pour partie, et parfois interrogatifs tant les mutations semblent importantes : fragmentation des medias, complexité croissante des parcours clients, développement de multiples contacts digitaux, par les annonceurs.
Notre objectif est d’interpeller les directions marketing et communication, sur l’efficacité des points de contacts et les synergies qui existent entre eux.
Dans ce contexte, l’Observatoire COM MEDIA lance un nouveau chantier sur l’efficacité des moyens de communication avec une lecture large à 360°. Les résultats de cette première étude seront orientés plus particulièrement sur les 3 grands secteurs de :
La Banque,
La Distribution (GSA)
Les Télécoms ( Mobile et FAI)
Pour conduire l’étude, les principaux instituts référents en la matière ont été interrogés et le choix de l’Observatoire COM MEDIA s’est porté sur TNS Sofrès.
L’approche de TNS Sofrès sur l’efficacité des moyens de communication prendra en compte les grandes dimensions suivantes :
L’influence de chaque point de contacts (Mass média, indirect….) classé par ordre d’efficacité,
La vision des forces et des faiblesses des marques concernées sur chaque point de contact,
L’apport d’une lecture des points de contacts qui maximisent l’influence,
La synergie des points de contacts entre eux.

L’ensemble de ces données apporte une valeur précieuse pour l’ensemble des acteurs de la communication globale, tant pour les annonceurs dans le cadre de leurs arbitrage, que pour les prestataires dans le cadre de la promotion de leurs offres.
Cette étude, unique en France, sera présentée le 8 juillet 2013 lors d’une réunion plénière en présence de TNS Sofrès mais aussi d’une table ronde composée d’intervenants prestigieux de profils annonceurs et prestataires de la communication globale.

Conférence exceptionnelle : Efficacité des moyens de communication


L'Observatoire COM MEDIA tiendra sa prochaine rencontre exceptionnelle le lundi 8 juillet prochain Salle Victor-Hugo (101, rue de l'Université, 75007 Paris) et j’attire votre attention sur l’importance de cette réunion et ses différentes thématiques notamment :
 - La présentation de la première étude réalisée en France sur l’efficacité des moyens de communication avec une lecture large à 360° (ci-joint : communiqué de presse) menée par TNS Sofrès sur les secteurs suivants :
     o La Banque,
     o La Distribution (GSA)
     o Les Télécoms (Mobile et FAI)

- Restitution des résultats de l’étude, BALmétrie « Mesure de l’audience du courrier publicitaire » réalisée par IPSOS Media CT,

- Suivi de notre fil rouge innovation, avec la présentation de 5 projets soutenus par leur dirigeant selon le principe : « 3 minutes pour convaincre »



jeudi 2 mai 2013

Lancement du 1er séminaire innovation organisé par l'Observatoire COM MEDIA

Dominique SCALIA
Président
Observatoire COM MEDIA
Parce que l’innovation constitue indéniablement des enjeux clés pour les acteurs de la filière de la communication et cela dans un objectif de création de valeur.
Parce que nos adhérents inscrivent l’innovation comme un axe majeur de développement
Parce que notre Association se doit de faire valoir et faire savoir toute la valeur que représente notre éco système.
Alors, l’Observatoire COM MEDIA a souhaité être la vitrine des innovations de nos adhérents, partenaires et de façon plus globale celle du monde de la communication.

Afin de conduire cet ambitieux projet un groupe de travail a été constitué sous le pilotage de Inge KERKLOH-DEVIF (Directrice de la formation continue de Sciences Po) et Jean-Christophe CHABBERT (Directeur général de Dufresne Corrigan Scarlett) et fera l'objet d'un séminaire de cadrage le 16 mai 2013 pour définir les plans d'actions et les moyens qui seront mis en oeuvre pour déployer cette nouvelle initiative.